Appelé à la dernière minute pour renforcer le clan Porsche engagé le week-end dernier dans les 24 Heures de Spa-Francorchamps – au sein de l’organisation de la famille française Alméras – Nicolas LAPIERRE a réalisé des relais d’anthologie avant de devoir rendre les armes (abandon). Pour exécuter cette pige, Lapierre avait reçu le feu vert de son employeur Toyota, un peu coincé aux entournures de devoir lui imposer un programme « light » en prévision de la seconde partie de la saison du WEC. En effet, confirmant une info que nous vous livrions en primeur ici même (le 14 juillet), ce n’est pas le trio Lapierre-Nakajima-Wurz qui défendra les couleurs du constructeur japonais lors des cinq derniers rendez-vous de ces joutes (avec le Brésil en reprise dès la fin du mois d’août) mais bien celui composé de Anthony Davidson, de Stéphane Sarrazin et de notre compatriote Sébastien Buemi. « Déçu, oui je le suis… » admettait sans détours et en résumé Lapierre dans les colonnes du journal « L’Equipe » du samedi 27 juillet dernier, en se remémorant sans doute tout le travail de développement qu’il s’est « appuyé » depuis des mois pour faire de cette TS030 hybrid une sérieuse rivale d’Audi.
Lapierre (29 ans) est un compétiteur, avec un potentiel pas toujours exploité comme il se devrait. La double situation qu’il traverse actuellement (ce flirt chez Porsche et une rétrogradation chez Toyota malgré son attachement presque filial à Hughes De Chaunac et à l’équipe Oreca qui exploite le programme nippon) alimente les rumeurs d’un possible mariage futur entre le Savoyard établi désormais à Genève – double national rappelons-le – et l’usine allemande. Dans l’optique de 2014, celle-ci et c’est officiel a déjà mis le grappin sur Timo Bernhard, Romain Dumas, Neel Jani et Mark Webber mais il lui reste cinq baquets à remplir (en vue des prochaines 24 Heures du Mans) et pour lesquels Nick Heidfeld (Rebellion) et Patrick Pilet (brillant 2ème à Spa lors des 24 Heures) sont également en lice. Avec son expérience (de l’hybride notamment), sa vélocité et sa capacité à se fondre dans un groupe, Nicolas Lapierre serait sans doute un excellent rouage, dans une structure qui, contrairement à Toyota, ne tâtonne pas et met le paquet – financier commehumain – pour faire de son retour au plus haut niveau de l’endurance une campagne à succès et sur la durée…
Autre rumeur qui bruissait dans les Ardennes mais qui allait à contre-courant de tout cela : et si, à moyen terme, c’est la combinaison Rebellion-Oreca-Toyota (et avec Lapierre) qui allait se charger de la poursuite de l’engagement en WEC du constructeur japonais ? On sait d’ores et déjà que De Chaunac a mis en chantier, à l’attention exclusive de l’équipe d’Alexandre Pesci, une toute nouvelle LMP1 pour 2014 avec, dans un premier temps, une motorisation Toyota « normale ». Mais pour 2015, tout reste ouvert et cette déduction repose par conséquent sur une certaine logique…
…même si, tout ce que vous venez de lire et d’apprendre n’est pour l’heure que pures spéculations d’arrière-salle !
Lapierre (29 ans) est un compétiteur, avec un potentiel pas toujours exploité comme il se devrait. La double situation qu’il traverse actuellement (ce flirt chez Porsche et une rétrogradation chez Toyota malgré son attachement presque filial à Hughes De Chaunac et à l’équipe Oreca qui exploite le programme nippon) alimente les rumeurs d’un possible mariage futur entre le Savoyard établi désormais à Genève – double national rappelons-le – et l’usine allemande. Dans l’optique de 2014, celle-ci et c’est officiel a déjà mis le grappin sur Timo Bernhard, Romain Dumas, Neel Jani et Mark Webber mais il lui reste cinq baquets à remplir (en vue des prochaines 24 Heures du Mans) et pour lesquels Nick Heidfeld (Rebellion) et Patrick Pilet (brillant 2ème à Spa lors des 24 Heures) sont également en lice. Avec son expérience (de l’hybride notamment), sa vélocité et sa capacité à se fondre dans un groupe, Nicolas Lapierre serait sans doute un excellent rouage, dans une structure qui, contrairement à Toyota, ne tâtonne pas et met le paquet – financier commehumain – pour faire de son retour au plus haut niveau de l’endurance une campagne à succès et sur la durée…
Autre rumeur qui bruissait dans les Ardennes mais qui allait à contre-courant de tout cela : et si, à moyen terme, c’est la combinaison Rebellion-Oreca-Toyota (et avec Lapierre) qui allait se charger de la poursuite de l’engagement en WEC du constructeur japonais ? On sait d’ores et déjà que De Chaunac a mis en chantier, à l’attention exclusive de l’équipe d’Alexandre Pesci, une toute nouvelle LMP1 pour 2014 avec, dans un premier temps, une motorisation Toyota « normale ». Mais pour 2015, tout reste ouvert et cette déduction repose par conséquent sur une certaine logique…
…même si, tout ce que vous venez de lire et d’apprendre n’est pour l’heure que pures spéculations d’arrière-salle !