Ils sont nés en... novembre:
5 novembre: Ricardo Albanesi
C’est en compagnie de deux autres Genevois, Jean-Pierre Adatte et Georges Schafer que Riccardo Albanesi disputa sur une Chevron B26 2 litres les 24 Heures du Mans 1976. Avec, suite à une succession d’ennuis de moteur, un abandon sans gloire survenu après sept heures de course. Architecte de profession, il est reconverti dans la restauration d’anciennes voitures, anglo-saxonnes de préférence.
Avant de vivre son expérience dans la Sarthe, Albanesi (né en 1943) s’était essayé en monoplace, notamment en Super V (1973) en ayant parfois à ses côtés, en tant qu’adversaires les Scandinaves Freddy Kottulinsky et un certain Keke Rosberg, le père de Nico, sacré champion du monde des conducteurs une dizaine d’années plus tard. De jolis souvenirs comme pour beaucoup de ces pilotes amateurs comme lui, de cette époque…
C’est en compagnie de deux autres Genevois, Jean-Pierre Adatte et Georges Schafer que Riccardo Albanesi disputa sur une Chevron B26 2 litres les 24 Heures du Mans 1976. Avec, suite à une succession d’ennuis de moteur, un abandon sans gloire survenu après sept heures de course. Architecte de profession, il est reconverti dans la restauration d’anciennes voitures, anglo-saxonnes de préférence.
Avant de vivre son expérience dans la Sarthe, Albanesi (né en 1943) s’était essayé en monoplace, notamment en Super V (1973) en ayant parfois à ses côtés, en tant qu’adversaires les Scandinaves Freddy Kottulinsky et un certain Keke Rosberg, le père de Nico, sacré champion du monde des conducteurs une dizaine d’années plus tard. De jolis souvenirs comme pour beaucoup de ces pilotes amateurs comme lui, de cette époque…
7 novembre: Herbert Loewe
Comme certains de ses compatriotes, Herbert Loewe fut une véritable étoile filante dans le paysage du sport automobile suisse. Né à Berne le 7 novembre 1937, ce promoteur immobilier des Grisons connut son heure de gloire en juin 1979 aux 24 Heures du Mans en terminant onzième au « général », se relayant au volant d’une Porsche 935 Haberthur avec Claude Haldi et le Panaméen Rodrigo Terada.
En compagnie du Vaudois et en guise de « tour de chauffe », Loewe avait également participé ce printemps-là à une manche du championnat du monde, les 1000 Km de Dijon (4ème). Après les 24 Heures, il disparu dans la circulation aussi vite qu’il s’y s’était glissé…
Comme certains de ses compatriotes, Herbert Loewe fut une véritable étoile filante dans le paysage du sport automobile suisse. Né à Berne le 7 novembre 1937, ce promoteur immobilier des Grisons connut son heure de gloire en juin 1979 aux 24 Heures du Mans en terminant onzième au « général », se relayant au volant d’une Porsche 935 Haberthur avec Claude Haldi et le Panaméen Rodrigo Terada.
En compagnie du Vaudois et en guise de « tour de chauffe », Loewe avait également participé ce printemps-là à une manche du championnat du monde, les 1000 Km de Dijon (4ème). Après les 24 Heures, il disparu dans la circulation aussi vite qu’il s’y s’était glissé…
12 novembre: Hubert Patthey
Avec son voisin de Fleurier Georges-André Berger, Hubert Patthey est entré dans l’histoire des 24 Heures du Mans en étant le premier pilote suisse à se classer dans les dix premiers du « général ». C’était en 1958 et le Neuchâtelois né en 1919 termina à une remarquable neuvième place au volant d’une AC Bristol au terme d’une course disputée par des conditions météorologiques exécrables.
Patthey est décédé en décembre 2009. C’était un personnage haut en couleurs, connu dans la région à travers (notamment) son implication dans le monde de l’automobile : en effet, il exploita un garage à Neuchâtel avec des devantures prestigieuses comme Alpine Renault et Aston Martin. C’est d’ailleurs au volant d’une DBR1 inscrite sous les couleurs de l’Ecurie des Trois Chevrons (mais dans les faits, avec un statut de voiture d’usine) que Patthey participa à l’édition 1959 (au côté du Biennois Jacques Calderari, le père d’Enzo) ; mais un ennui de moteur le força très rapidement à l’abandon.
Patthey qui mit fin à sa « carrière » en 1962 était aussi un passionné d’aviation et durant la seconde tranche de sa vie, un ardent défenseur de tout ce qui touchait à la voiture (il fut également président de la section neuchâteloise de l’ACS).
Avec son voisin de Fleurier Georges-André Berger, Hubert Patthey est entré dans l’histoire des 24 Heures du Mans en étant le premier pilote suisse à se classer dans les dix premiers du « général ». C’était en 1958 et le Neuchâtelois né en 1919 termina à une remarquable neuvième place au volant d’une AC Bristol au terme d’une course disputée par des conditions météorologiques exécrables.
Patthey est décédé en décembre 2009. C’était un personnage haut en couleurs, connu dans la région à travers (notamment) son implication dans le monde de l’automobile : en effet, il exploita un garage à Neuchâtel avec des devantures prestigieuses comme Alpine Renault et Aston Martin. C’est d’ailleurs au volant d’une DBR1 inscrite sous les couleurs de l’Ecurie des Trois Chevrons (mais dans les faits, avec un statut de voiture d’usine) que Patthey participa à l’édition 1959 (au côté du Biennois Jacques Calderari, le père d’Enzo) ; mais un ennui de moteur le força très rapidement à l’abandon.
Patthey qui mit fin à sa « carrière » en 1962 était aussi un passionné d’aviation et durant la seconde tranche de sa vie, un ardent défenseur de tout ce qui touchait à la voiture (il fut également président de la section neuchâteloise de l’ACS).
14 novembre: Jean-Jacques Cochet
L’époque le permettait : aux débuts des années 1970, le Genevois Jean-Jacques Cochet (né en 1941) « cumulait » - en plus de son rôle de chef d’entreprise dans une société de génie civil et de construction du bout du Lac – les fonctions de footballeur de très bon niveau (il joua au FC Servette) et de pilote automobile.
Champion suisse sur une Porsche 911 TH en 1968, il se présenta à deux reprises aux 24 Heures du Mans avec pour résultats, un abandon en 1971 sur une Porsche 911S du Wicky Racing Team (transmission) et une remarquable 7ème place l’année suivante pour le compte de la Scuderia Filipinetti sur une Ferrari 365GTB4 avec Mike Parkes et Jean-Louis Lafosse comme coéquipiers !
Cochet était assurément un excellent compétiteur mais après une belle série de « sorties » notamment au Tour de France, en biplace sur une Lola/ Filipinetti dans le cadre du Trophée d’Europe des 2 litres et dans quelques rallyes dont celui de Genève, il décida de tourner la page et passer à autre chose…
L’époque le permettait : aux débuts des années 1970, le Genevois Jean-Jacques Cochet (né en 1941) « cumulait » - en plus de son rôle de chef d’entreprise dans une société de génie civil et de construction du bout du Lac – les fonctions de footballeur de très bon niveau (il joua au FC Servette) et de pilote automobile.
Champion suisse sur une Porsche 911 TH en 1968, il se présenta à deux reprises aux 24 Heures du Mans avec pour résultats, un abandon en 1971 sur une Porsche 911S du Wicky Racing Team (transmission) et une remarquable 7ème place l’année suivante pour le compte de la Scuderia Filipinetti sur une Ferrari 365GTB4 avec Mike Parkes et Jean-Louis Lafosse comme coéquipiers !
Cochet était assurément un excellent compétiteur mais après une belle série de « sorties » notamment au Tour de France, en biplace sur une Lola/ Filipinetti dans le cadre du Trophée d’Europe des 2 litres et dans quelques rallyes dont celui de Genève, il décida de tourner la page et passer à autre chose…
26 novembre: Michel Frey
Michel Frey est copropriétaire et pilote de l’écurie Race Performance en LMP2. Après un début de carrière en monoplace (Dallara) marqué par quelques coups d’éclat (2ème du championnat suisse de F3 en 2000 et 2001, avec notamment un succès « scratch » sous la pluie au Marchairuz), cet Argovien oeuvrant dans l’immobilier a choisi l’option de l’endurance. C’est ainsi qu’après quelques expériences en Porsche Cup et en ADAC GT Masters (Aston Martin), il se lance en LMP2. Il se retrouve repêché à la dernière minute par l’ACO et engage une Radical aux 24 Heures du Mans 2010 pour le trio Meichtry-Rostan-Bruneau (18ème). L’année suivante, au volant d’une Oreca-Judd, il décide d’y goûter aussi en épaulant ces mêmes Meichtry et Rostan avec une nouvelle prestation de qualité (19ème) compte tenu des moyens plutôt modestes à sa disposition.
En juin 2013, Michel Frey en était à sa troisième participation dans la Sarthe (26ème en 2012 toujours avec une Oreca-Judd et Jonathan Hirschi comme coéquipier) et cette fois, il s’est classé 19ème en compagnie du jeune espoir Patric Niederhauser et de l’expérimenté Hollandais Jeroen Bleekemolen.
Michel Frey est copropriétaire et pilote de l’écurie Race Performance en LMP2. Après un début de carrière en monoplace (Dallara) marqué par quelques coups d’éclat (2ème du championnat suisse de F3 en 2000 et 2001, avec notamment un succès « scratch » sous la pluie au Marchairuz), cet Argovien oeuvrant dans l’immobilier a choisi l’option de l’endurance. C’est ainsi qu’après quelques expériences en Porsche Cup et en ADAC GT Masters (Aston Martin), il se lance en LMP2. Il se retrouve repêché à la dernière minute par l’ACO et engage une Radical aux 24 Heures du Mans 2010 pour le trio Meichtry-Rostan-Bruneau (18ème). L’année suivante, au volant d’une Oreca-Judd, il décide d’y goûter aussi en épaulant ces mêmes Meichtry et Rostan avec une nouvelle prestation de qualité (19ème) compte tenu des moyens plutôt modestes à sa disposition.
En juin 2013, Michel Frey en était à sa troisième participation dans la Sarthe (26ème en 2012 toujours avec une Oreca-Judd et Jonathan Hirschi comme coéquipier) et cette fois, il s’est classé 19ème en compagnie du jeune espoir Patric Niederhauser et de l’expérimenté Hollandais Jeroen Bleekemolen.
28 novembre: Georges Schafer et Claude Haldi
L’un y a participé une fois et en toute discrétion, avec des moyens dérisoires qui le conduisirent à abandonner rapidement au volant de sa Chevron 2 litres. L’autre détient le record absolu de présences – au niveau suisse s’entend – avec vingt-deux départs aux 24 Heures du Mans. Georges Schafer et Claude Haldi se trouvent donc à l’opposé dans cette hiérarchie mais ils ont un point commun : ils sont nés tous deux un 28 novembre !
Né en 1937 à Leysin mais « exilé » à Genève, Schafer se retrouva au Mans en 1976 en compagnie de ses voisins Jean-Pierre Adatte et Riccardo Albanesi ; mais des soucis récurrents de moteur les forcèrent à plier bagages avant minuit. Ce garçon polyvalent (il fut dans d’autres vies coiffeur, peintre, poète, décorateur, entraîneur de full contact…) à l’esprit bohême fut surtout actif dans des courses à caractère national mais il tenta également sa chance, toujours aussi désargenté mais toujours aussi passionné, jusqu’en F2 avec sa Chevron-Cosworth.
Georges Schafer s'est éteint le 26 septembre 2020. A deux mois de célébrer son 83ème anniversaire.
Evidemment, quand on l’examine dans les rétroviseurs, le parcours sportif de Claude Haldi (né en 1942) prend une toute autre dimension, que ce soit dans la durée ou sur le plan des résultats. Prenons simplement les 24 Heures du Mans : 22 départs dont deux fois pour le compte de l’usine Porsche (1973 et 87) avec des débuts au sein de la Scuderia Filipinetti sur Ferrari (1968) et des dizaines de milliers de kilomètres parcourus de jour comme de nuit, par beau temps ou sous la pluie, avec des montures parfois singulières (notamment la WM à moteur Peugeot qui lui permit de fixer le record de vitesse absolue sur les Hunaudières à 405 km/h. en 1988) mais en définitive avec un bilan plutôt maigrichon puisqu’au delà d’une victoire de catégorie (en 1975 sur une Porsche bien sûr), le meilleur classement au « général » signé par le Vaudois fut une onzième place en 1979 (Porsche 935).
Mais Claude Haldi, ce fut également de nombreuses réussites en endurance que ce soit dans le cadre du championnat du monde des marques (3ème de la Targa Florio 1973) ou celui d’Europe de la montagne à l’époque où ces joutes attiraient foule – 30'000 spectateurs entre Ollon et Villars – et usines (Abarth, BMW, Ferrari, Porsche et même Cobra/Shelby) et en rallyes nationaux (titre de champion suisse en 1979 avec une double turbo Porsche/Haberthur) et internationaux (Monte-Carlo, RAC). Il faudrait noircir quelques feuilles de papier pour raconter tous les exploits d’un homme qui fut l’un des meilleurs volants suisses de tous les temps et que plusieurs hautes distinctions – comme celle de pilote Porsche de l’année 1975 ou le BP Racing Trophy – vinrent récompenser au fil de sa remarquable carrière.
Souffrant de la maladie d’Alzheimer, Claude Haldi est décédé le jour de Noël 2017. Il venait de fêter son 75ème anniversaire.
L’un y a participé une fois et en toute discrétion, avec des moyens dérisoires qui le conduisirent à abandonner rapidement au volant de sa Chevron 2 litres. L’autre détient le record absolu de présences – au niveau suisse s’entend – avec vingt-deux départs aux 24 Heures du Mans. Georges Schafer et Claude Haldi se trouvent donc à l’opposé dans cette hiérarchie mais ils ont un point commun : ils sont nés tous deux un 28 novembre !
Né en 1937 à Leysin mais « exilé » à Genève, Schafer se retrouva au Mans en 1976 en compagnie de ses voisins Jean-Pierre Adatte et Riccardo Albanesi ; mais des soucis récurrents de moteur les forcèrent à plier bagages avant minuit. Ce garçon polyvalent (il fut dans d’autres vies coiffeur, peintre, poète, décorateur, entraîneur de full contact…) à l’esprit bohême fut surtout actif dans des courses à caractère national mais il tenta également sa chance, toujours aussi désargenté mais toujours aussi passionné, jusqu’en F2 avec sa Chevron-Cosworth.
Georges Schafer s'est éteint le 26 septembre 2020. A deux mois de célébrer son 83ème anniversaire.
Evidemment, quand on l’examine dans les rétroviseurs, le parcours sportif de Claude Haldi (né en 1942) prend une toute autre dimension, que ce soit dans la durée ou sur le plan des résultats. Prenons simplement les 24 Heures du Mans : 22 départs dont deux fois pour le compte de l’usine Porsche (1973 et 87) avec des débuts au sein de la Scuderia Filipinetti sur Ferrari (1968) et des dizaines de milliers de kilomètres parcourus de jour comme de nuit, par beau temps ou sous la pluie, avec des montures parfois singulières (notamment la WM à moteur Peugeot qui lui permit de fixer le record de vitesse absolue sur les Hunaudières à 405 km/h. en 1988) mais en définitive avec un bilan plutôt maigrichon puisqu’au delà d’une victoire de catégorie (en 1975 sur une Porsche bien sûr), le meilleur classement au « général » signé par le Vaudois fut une onzième place en 1979 (Porsche 935).
Mais Claude Haldi, ce fut également de nombreuses réussites en endurance que ce soit dans le cadre du championnat du monde des marques (3ème de la Targa Florio 1973) ou celui d’Europe de la montagne à l’époque où ces joutes attiraient foule – 30'000 spectateurs entre Ollon et Villars – et usines (Abarth, BMW, Ferrari, Porsche et même Cobra/Shelby) et en rallyes nationaux (titre de champion suisse en 1979 avec une double turbo Porsche/Haberthur) et internationaux (Monte-Carlo, RAC). Il faudrait noircir quelques feuilles de papier pour raconter tous les exploits d’un homme qui fut l’un des meilleurs volants suisses de tous les temps et que plusieurs hautes distinctions – comme celle de pilote Porsche de l’année 1975 ou le BP Racing Trophy – vinrent récompenser au fil de sa remarquable carrière.
Souffrant de la maladie d’Alzheimer, Claude Haldi est décédé le jour de Noël 2017. Il venait de fêter son 75ème anniversaire.
29 novembre: Bernard Thuner
Une Spice en 1989, une Cougar en 1990, une ROC en 1991 et une Jaguar en 1995 : quatre présences aux 24 Heures du Mans avec autant de marques différentes et à chaque fois, des abandons comme couperets ! Bernard Thuner n’a pas été spécialement verni dans la Sarthe, contrairement à son père Jean-Jacques, une seule fois au départ et classé 13ème et vainqueur de sa classe en 1965 (Triumph Spitfire).
Avant de se faire un nom en endurance, au niveau mondial (entre 1989 et 92) et y frôler la conquête du titre suprême en C2, le Genevois (né à Nyon en 1960) écuma nombre de distinctions dans le pays, que ce soit en monoplace (F3), en Supertourisme (Peugeot) ou en Proto (Sports 2000). On le vit même en 1988 à Monaco, au GP de F3 avec une Dallara. Papa de Fabien qui s’alignait en 2013 en Porsche Carrera Cup Deutschland, directeur des Garages « Autobritt les Automobiles » à Genève axés essentiellement sur des marques britanniques (Jaguar, McLaren, Land Rover), Thuner fait toujours preuve d’un joli coup de volant lors de manifestations comme « Le Mans Classic » avec une Lola T70 ou une Ford GT40.
Une Spice en 1989, une Cougar en 1990, une ROC en 1991 et une Jaguar en 1995 : quatre présences aux 24 Heures du Mans avec autant de marques différentes et à chaque fois, des abandons comme couperets ! Bernard Thuner n’a pas été spécialement verni dans la Sarthe, contrairement à son père Jean-Jacques, une seule fois au départ et classé 13ème et vainqueur de sa classe en 1965 (Triumph Spitfire).
Avant de se faire un nom en endurance, au niveau mondial (entre 1989 et 92) et y frôler la conquête du titre suprême en C2, le Genevois (né à Nyon en 1960) écuma nombre de distinctions dans le pays, que ce soit en monoplace (F3), en Supertourisme (Peugeot) ou en Proto (Sports 2000). On le vit même en 1988 à Monaco, au GP de F3 avec une Dallara. Papa de Fabien qui s’alignait en 2013 en Porsche Carrera Cup Deutschland, directeur des Garages « Autobritt les Automobiles » à Genève axés essentiellement sur des marques britanniques (Jaguar, McLaren, Land Rover), Thuner fait toujours preuve d’un joli coup de volant lors de manifestations comme « Le Mans Classic » avec une Lola T70 ou une Ford GT40.