Ils sont nés en... août:
1er août: Walter Ringgenberg
Décédé en janvier 1988, Walter Ringgenberg, directeur d’entreprise spécialisée dans les appareils sanitaires, né (en 1912) et installé à Berne, a marqué à sa manière l’histoire des 24 Heures du Mans en étant le premier Suisse à y participer (avec son voisin Hans-Joerg Gilomen) au volant d’une Porsche. C’était en 1955, lors de la funeste édition qui entraîna la mort de plus de 80 personnes, dans les tribunes principales. Porsche commençait alors son approche vers la victoire absolue (en 1970, avec la 917) et le tandem Ringgenberg-Gilomen disposait de l’un des six spider 550 engagés cette année-là, le leur étant aligné à titre privé. L’expérience tourna court à la suite de la casse de son moteur (piston) survenue durant la huitième heure de course.
Débutant sur le tard (à 38 ans), Ringgenberg se mit en évidence aussi bien en rallye (il fit le Monte-Carlo), en circuit qu’en côte. C’est d’ailleurs dans l’habitacle de sa Berlinetta Ferrari qu’il mit un terme à sa carrière en 1964 à l’occasion de Sierre-Montana-Crans qui comptait à l’époque pour le championnat d’Europe de la montagne.
Décédé en janvier 1988, Walter Ringgenberg, directeur d’entreprise spécialisée dans les appareils sanitaires, né (en 1912) et installé à Berne, a marqué à sa manière l’histoire des 24 Heures du Mans en étant le premier Suisse à y participer (avec son voisin Hans-Joerg Gilomen) au volant d’une Porsche. C’était en 1955, lors de la funeste édition qui entraîna la mort de plus de 80 personnes, dans les tribunes principales. Porsche commençait alors son approche vers la victoire absolue (en 1970, avec la 917) et le tandem Ringgenberg-Gilomen disposait de l’un des six spider 550 engagés cette année-là, le leur étant aligné à titre privé. L’expérience tourna court à la suite de la casse de son moteur (piston) survenue durant la huitième heure de course.
Débutant sur le tard (à 38 ans), Ringgenberg se mit en évidence aussi bien en rallye (il fit le Monte-Carlo), en circuit qu’en côte. C’est d’ailleurs dans l’habitacle de sa Berlinetta Ferrari qu’il mit un terme à sa carrière en 1964 à l’occasion de Sierre-Montana-Crans qui comptait à l’époque pour le championnat d’Europe de la montagne.
7 août: Hans Waeffler
Il n’est sans doute pas le plus connu des 142 pilotes suisses qui, à ce jour et dans l’histoire, ont disputé au moins une fois les 24 Heures du Mans. N’empêche : Hans Waeffler était au départ de l’édition de 1955 – celle du terrible accident – et au volant de sa MG Ex 182, il eut le mérite de se classer au 17ème rang en compagnie du Britannique Ted Lund. En obtenant ce résultat, Waeffler est le tout premier Suisse à avoir franchi la ligne d’arrivée des 24 Heures ! Ce Bâlois né en 1914 mourut à Zürich le 25 août 1998.
A ses débuts, sitôt après la seconde guerre mondiale, au volant d’une BMW 328 qu’il racheta au champion français Raymond Sommer, Waeffler disputa quelques Grands Prix dont ceux des Nations à Genève et de Lausanne/Blécherette.
Il n’est sans doute pas le plus connu des 142 pilotes suisses qui, à ce jour et dans l’histoire, ont disputé au moins une fois les 24 Heures du Mans. N’empêche : Hans Waeffler était au départ de l’édition de 1955 – celle du terrible accident – et au volant de sa MG Ex 182, il eut le mérite de se classer au 17ème rang en compagnie du Britannique Ted Lund. En obtenant ce résultat, Waeffler est le tout premier Suisse à avoir franchi la ligne d’arrivée des 24 Heures ! Ce Bâlois né en 1914 mourut à Zürich le 25 août 1998.
A ses débuts, sitôt après la seconde guerre mondiale, au volant d’une BMW 328 qu’il racheta au champion français Raymond Sommer, Waeffler disputa quelques Grands Prix dont ceux des Nations à Genève et de Lausanne/Blécherette.
9 août: Alain Menu
Alain Menu (né en 1963) est incontestablement l’un des meilleurs pilotes suisses de ces dernières décennies que nous saluons ce jour. Entamée par la Formule Ford en 1985, sa carrière (consolidée par ses succès notamment en F3 outre-Manche et en Formule 3000) aurait pu, aurait dû le mener jusqu’en F1 (il fut durant deux saisons le pilote-essayeur officiel de Williams-Renault du temps de Damon Hill et de Jacques Villeneuve) mais le fameux « timing » ne lui fut pas favorable. Intelligemment, le Genevois s’exila pour de bon en Angleterre et prit alors l’option du « Tourisme », via BMW puis Renault, Ford et finalement Chevrolet (dans le WTCC), avec plusieurs titres de champion d’Angleterre et des victoires à la pelle, faisant de lui l’un des caïds absolus de la discipline, au niveau mondial. Il ouvrit aussi une parenthèse avec le DTM en s’alignant deux ans au sein de l’usine Opel.
Aux 24 Heures du Mans, Menu vécut deux expériences, pour le compte de Prodrive, à chaque fois au volant d’une Ferrari F550 Maranello : en 2002 (abandon) et en 2004 (11ème après avoir même occupé la 5ème place aux trois quarts de l’épreuve avant que de sérieux ennuis de suspension viennent le ralentir).
Alain Menu (né en 1963) est incontestablement l’un des meilleurs pilotes suisses de ces dernières décennies que nous saluons ce jour. Entamée par la Formule Ford en 1985, sa carrière (consolidée par ses succès notamment en F3 outre-Manche et en Formule 3000) aurait pu, aurait dû le mener jusqu’en F1 (il fut durant deux saisons le pilote-essayeur officiel de Williams-Renault du temps de Damon Hill et de Jacques Villeneuve) mais le fameux « timing » ne lui fut pas favorable. Intelligemment, le Genevois s’exila pour de bon en Angleterre et prit alors l’option du « Tourisme », via BMW puis Renault, Ford et finalement Chevrolet (dans le WTCC), avec plusieurs titres de champion d’Angleterre et des victoires à la pelle, faisant de lui l’un des caïds absolus de la discipline, au niveau mondial. Il ouvrit aussi une parenthèse avec le DTM en s’alignant deux ans au sein de l’usine Opel.
Aux 24 Heures du Mans, Menu vécut deux expériences, pour le compte de Prodrive, à chaque fois au volant d’une Ferrari F550 Maranello : en 2002 (abandon) et en 2004 (11ème après avoir même occupé la 5ème place aux trois quarts de l’épreuve avant que de sérieux ennuis de suspension viennent le ralentir).
11 août: Gregor Fischer
Dans l’histoire des pilotes suisses ayant pris part aux 24 Heures du Mans, c’est un peu une étoile filante : Gregor Fischer, né en 1948, n’a effectué qu’une visite dans la Sarthe. C’était en 1974 et le pilote de Coire avait alors rapidement été contraint à l’abandon à la suite d’un problème de moteur survenu sur sa Chevron-Cosworth 2 litres dont il partageait le volant avec les Genevois Daniel Brillat et Michel Dupont, ce dernier étant le patron du team (Scato). Le parcours de Fischer n’est guère plus étoffé sous d’autres latitudes si ce n’est un titre de vice-champion suisse en voitures spéciales décroché en 1972 avec une Porsche 911T ainsi que quelques discrètes sorties en Intersérie avec une Lola propulsée par un Chevrolet-Morand.
Après quoi, notre gaillard réapparut de manière sporadique sur les grilles de départ, notamment avec un bolide modifié par… Franco Sbarro et bien plus tard (2004) dans des épreuves historiques, sur des protos.
Féru d’aviation, Fischer s’est par la suite investi à fond dans le monde aéronautique, fondant sa propre compagnie « Fischair », en partageant son temps entre la Suisse et l’Espagne.
Dans l’histoire des pilotes suisses ayant pris part aux 24 Heures du Mans, c’est un peu une étoile filante : Gregor Fischer, né en 1948, n’a effectué qu’une visite dans la Sarthe. C’était en 1974 et le pilote de Coire avait alors rapidement été contraint à l’abandon à la suite d’un problème de moteur survenu sur sa Chevron-Cosworth 2 litres dont il partageait le volant avec les Genevois Daniel Brillat et Michel Dupont, ce dernier étant le patron du team (Scato). Le parcours de Fischer n’est guère plus étoffé sous d’autres latitudes si ce n’est un titre de vice-champion suisse en voitures spéciales décroché en 1972 avec une Porsche 911T ainsi que quelques discrètes sorties en Intersérie avec une Lola propulsée par un Chevrolet-Morand.
Après quoi, notre gaillard réapparut de manière sporadique sur les grilles de départ, notamment avec un bolide modifié par… Franco Sbarro et bien plus tard (2004) dans des épreuves historiques, sur des protos.
Féru d’aviation, Fischer s’est par la suite investi à fond dans le monde aéronautique, fondant sa propre compagnie « Fischair », en partageant son temps entre la Suisse et l’Espagne.
15 août: Steve Zacchia
Il détient toujours un record : celui du plus jeune pilote suisse admis sur la grille des 24 Heures du Mans. C’était en 2003 et Steve ZACCHIA, né en 1982, avait alors 20 ans et 303 jours ! Pour faire bonne mesure, notre champion en herbe avait terminé à un honorable 16ème rang au volant d’une Chrysler Viper de Larbre Competition. C’est d’ailleurs avec cette organisation française que Zacchia obtint ses meilleurs résultats en endurance, en décrochant notamment le titre GT en LMES, en 2004.
Pour en revenir au Mans, il s’y aligna encore à deux reprises, d’abord pour le compte de Rebellion en 2008 (abandon sur une Lola LMP2) puis en devenant le premier pilote de tous les temps – avec ses équipiers Lammers et Elgaard – à disposer au départ des 24 Heures d’un véhicule hybride : c’était en 2011, avec la fameuse opération « Hope Racing » de Benoît Morand (abandon au petit matin).
Il détient toujours un record : celui du plus jeune pilote suisse admis sur la grille des 24 Heures du Mans. C’était en 2003 et Steve ZACCHIA, né en 1982, avait alors 20 ans et 303 jours ! Pour faire bonne mesure, notre champion en herbe avait terminé à un honorable 16ème rang au volant d’une Chrysler Viper de Larbre Competition. C’est d’ailleurs avec cette organisation française que Zacchia obtint ses meilleurs résultats en endurance, en décrochant notamment le titre GT en LMES, en 2004.
Pour en revenir au Mans, il s’y aligna encore à deux reprises, d’abord pour le compte de Rebellion en 2008 (abandon sur une Lola LMP2) puis en devenant le premier pilote de tous les temps – avec ses équipiers Lammers et Elgaard – à disposer au départ des 24 Heures d’un véhicule hybride : c’était en 2011, avec la fameuse opération « Hope Racing » de Benoît Morand (abandon au petit matin).
18 août: Nicolas Prost
Avec un papa quadruple champion du monde des conducteurs, Nicolas Prost (né en 1981) pouvait difficilement ne pas tomber dans la marmite de la course automobile. Après une approche en monoplace entamée en 2003 – y compris au niveau de la F3000, en Euroseries ainsi qu’en A1GP pour la France – il a trouvé son rythme de croisière en endurance, d’abord sous l’égide de l’ami de la famille Hughes de Chaunac au sein de l’organisation Oreca puis auprès du Team vaudois Rebellion d’Alexandre Pesci non sans mener de front une intense activité de pilote-essayeur chez Renault en F1 (pour les moteurs prioritairement).
Féru de technique (il est au bénéfice d’un diplôme d’ingénieur), pinailleur (dans le bon sens du terme), sportif au quotidien ou presque avec une préférence pour le vélo, Nico – double national depuis peu (marié depuis une année, il est établi dans le vignoble de Féchy, entre Aubonne et Rolle) – s’est révélé au fil des saisons comme étant un compétiteur solide, sur lequel on peut compter.
Au Mans en 2013, il en était à sa sixième participation ce qui pose déjà un homme ! D’autant que sur ces six présences, il a toujours franchi la ligne d’arrivée (à l’exception de 2010), avec un quatrième rang au « général » (2012) au volant d’une Lola-Toyota Rebellion LMP1 comme résultat le plus probant.
Avec un papa quadruple champion du monde des conducteurs, Nicolas Prost (né en 1981) pouvait difficilement ne pas tomber dans la marmite de la course automobile. Après une approche en monoplace entamée en 2003 – y compris au niveau de la F3000, en Euroseries ainsi qu’en A1GP pour la France – il a trouvé son rythme de croisière en endurance, d’abord sous l’égide de l’ami de la famille Hughes de Chaunac au sein de l’organisation Oreca puis auprès du Team vaudois Rebellion d’Alexandre Pesci non sans mener de front une intense activité de pilote-essayeur chez Renault en F1 (pour les moteurs prioritairement).
Féru de technique (il est au bénéfice d’un diplôme d’ingénieur), pinailleur (dans le bon sens du terme), sportif au quotidien ou presque avec une préférence pour le vélo, Nico – double national depuis peu (marié depuis une année, il est établi dans le vignoble de Féchy, entre Aubonne et Rolle) – s’est révélé au fil des saisons comme étant un compétiteur solide, sur lequel on peut compter.
Au Mans en 2013, il en était à sa sixième participation ce qui pose déjà un homme ! D’autant que sur ces six présences, il a toujours franchi la ligne d’arrivée (à l’exception de 2010), avec un quatrième rang au « général » (2012) au volant d’une Lola-Toyota Rebellion LMP1 comme résultat le plus probant.
20 août: Laurent Lécuyer
Laurent Lécuyer s’est rendu à deux reprises aux 24 Heures du Mans.
Né en 1965 à Lausanne mais installé dans le Nord vaudois, Lécuyer s’est d’abord passionné pour les deux roues (motocross) avant de passer à l’automobile et de se lancer dans l’endurance (BPR) au milieu des années 1990 avec une Venturi. C’est d’ailleurs avec une de ces voitures – une 600 LM très exactement – qu’il s’inscrivit dans la Sarthe : en 1995 (après avoir pris part aux essais pré-qualificatifs avec une McLaren F1 GTR), il fut contraint à l’abandon suite à un début d’incendie; et l’année suivante, sa monture n’était que suppléante. Et comme aucun forfait n’allait être enregistré, Lécuyer la mort dans l’âme demeura sur le carreau.
Laurent Lécuyer s’est rendu à deux reprises aux 24 Heures du Mans.
Né en 1965 à Lausanne mais installé dans le Nord vaudois, Lécuyer s’est d’abord passionné pour les deux roues (motocross) avant de passer à l’automobile et de se lancer dans l’endurance (BPR) au milieu des années 1990 avec une Venturi. C’est d’ailleurs avec une de ces voitures – une 600 LM très exactement – qu’il s’inscrivit dans la Sarthe : en 1995 (après avoir pris part aux essais pré-qualificatifs avec une McLaren F1 GTR), il fut contraint à l’abandon suite à un début d’incendie; et l’année suivante, sa monture n’était que suppléante. Et comme aucun forfait n’allait être enregistré, Lécuyer la mort dans l’âme demeura sur le carreau.
27 août: Karim Ojjeh
Pour en terminer avec sa liaison avec les 24 Heures du Mans auxquelles il participa à sept reprises, Karim Ojjeh eut la bonne idée de s’imposer dans la catégorie LMP2 (et de se classer à la huitième place du « général »). C’était en juin 2011, une sorte de couronnement d’une carrière de gentleman-driver amorcée via la monoplace (Formule Ford en Angleterre puis Formule Palmer aux Etats-Unis au milieu des années 90, parallèlement à ses études outre-Atlantique). Et c’est au volant d’une Zytek à moteur Nissan inscrite par le team anglais Greaves Motorsport que le Genevois d’adoption avait réalisé cet authentique exploit en compagnie du jeune Français Olivier Lombard (vu cette année dans la Sarthe chez Morand Racing) et du Britannique Tom Kimber-Smith.
Né à Genève en 1965 mais établi depuis quelques temps à Gstaad, il est membre de la famille Ojjeh provenant d’Arabie Saoudite dont le patriarche Akram fut un puissant homme d’affaires multi milliardaire (il posséda notamment le paquebot « France ») et dont l’un des frères, Mansour, dispose aujourd’hui encore d’un paquet d’actions dans l’écurie McLaren de F1. Karim se présenta donc au Mans sans fléchir entre 2005 et 2011, toujours avec des prototypes, d’abord des Courage françaises (2005 & 2006) aux couleurs Gulf du team Belmondo puis des Zytek anglaises et un honnête pourcentage de réussite comme bilan (3 arrivées en 7 participations) !
Aujourd’hui, sans se prendre la tête, Karim Ojjeh continue à assouvir sa passion liée à la course automobile en disputant le « Blancpain Endurance Series » au volant d’une McLaren.
Pour en terminer avec sa liaison avec les 24 Heures du Mans auxquelles il participa à sept reprises, Karim Ojjeh eut la bonne idée de s’imposer dans la catégorie LMP2 (et de se classer à la huitième place du « général »). C’était en juin 2011, une sorte de couronnement d’une carrière de gentleman-driver amorcée via la monoplace (Formule Ford en Angleterre puis Formule Palmer aux Etats-Unis au milieu des années 90, parallèlement à ses études outre-Atlantique). Et c’est au volant d’une Zytek à moteur Nissan inscrite par le team anglais Greaves Motorsport que le Genevois d’adoption avait réalisé cet authentique exploit en compagnie du jeune Français Olivier Lombard (vu cette année dans la Sarthe chez Morand Racing) et du Britannique Tom Kimber-Smith.
Né à Genève en 1965 mais établi depuis quelques temps à Gstaad, il est membre de la famille Ojjeh provenant d’Arabie Saoudite dont le patriarche Akram fut un puissant homme d’affaires multi milliardaire (il posséda notamment le paquebot « France ») et dont l’un des frères, Mansour, dispose aujourd’hui encore d’un paquet d’actions dans l’écurie McLaren de F1. Karim se présenta donc au Mans sans fléchir entre 2005 et 2011, toujours avec des prototypes, d’abord des Courage françaises (2005 & 2006) aux couleurs Gulf du team Belmondo puis des Zytek anglaises et un honnête pourcentage de réussite comme bilan (3 arrivées en 7 participations) !
Aujourd’hui, sans se prendre la tête, Karim Ojjeh continue à assouvir sa passion liée à la course automobile en disputant le « Blancpain Endurance Series » au volant d’une McLaren.
29 août: Paul Keller
A cette époque (au début des années 1970), le championnat d’Europe des GT (Grand Tourisme) bénéficiait d’une vraie renommée internationale en garnissant notamment les grilles des manches du championnat du monde des marques ; et parmi ses principaux animateurs, on comptait quelques pilotes suisses dont Claude Haldi, Bernard Chenevière (d’ailleurs souvent coéquipiers sur des Porsche préparées à Lausanne par Guido Haberthur) et un certain Paul KELLER.
Sur quatre présences dans la Sarthe (de 1971 à 1974 sans interruption et toujours au volant de divers modèles Porsche dont une 914/6), Paul Keller, né en 1938 à Basadingen dans le canton de Thurgovie, n’eut guère de réussite excepté en 1973 où il termina remarquable 8ème au « général » et surtout vainqueur du classement à l’Indice Energétique, avec une Carrera RSR engagée par le Kremer Racing.
Il est décédé en septembre 1998 des suites de maladie.
A cette époque (au début des années 1970), le championnat d’Europe des GT (Grand Tourisme) bénéficiait d’une vraie renommée internationale en garnissant notamment les grilles des manches du championnat du monde des marques ; et parmi ses principaux animateurs, on comptait quelques pilotes suisses dont Claude Haldi, Bernard Chenevière (d’ailleurs souvent coéquipiers sur des Porsche préparées à Lausanne par Guido Haberthur) et un certain Paul KELLER.
Sur quatre présences dans la Sarthe (de 1971 à 1974 sans interruption et toujours au volant de divers modèles Porsche dont une 914/6), Paul Keller, né en 1938 à Basadingen dans le canton de Thurgovie, n’eut guère de réussite excepté en 1973 où il termina remarquable 8ème au « général » et surtout vainqueur du classement à l’Indice Energétique, avec une Carrera RSR engagée par le Kremer Racing.
Il est décédé en septembre 1998 des suites de maladie.