La publication ce jeudi à Paris des 56 voitures invitées à participer aux prochaines 24 Heures du Mans (14 & 15 juin) n’a provoqué aucune grosse surprise avec côté suisse et de la catégorie des LMP2 au nombre de dix-sept, la confirmation des inscriptions du Morand Racing (désormais baptisé « Newblood by Morand Racing ») et des Bernois de Race Performance (avec un troisième pilote encore à trouver mais qui pourrait bien posséder un passeport suisse à croix blanche…). Idem pour les Chinois de KCMG (avec normalement Alexandre Imperatori dans le baquet de l’Oreca mais rien n’est certain) et les Irlandais du « Murphy Prototypes ». Dans ce dernier cas pourtant, il n’est plus du tout acquis que Jonathan Hirschi en fasse partie. On devrait en savoir davantage sur les intentions réelles du Neuchâtelois dans les jours à venir.
Pas de souci de ce genre pour Patrick Pilet confirmé où on l’attendait, c’est-à-dire chez Manthey « usine » sur une Porsche 997 GT-Pro.
En revanche, le Pegasus Racing qui prévoit de faire rouler Niki Leutwiler (en ELMS) ne figure qu’en cinquième position des suppléants et ça aussi ce n’est pas réellement une surprise (voir notre info précédente) ; il faudra autant de défections d’ici ce printemps dans les catégories LMP pour avoir des chances de l’apercevoir sur la grille de départ.
Précision de taille concernant Toyota, un des prétendants à la victoire absolue en compagnie de Audi et de Porsche : une rocade (importante) de pilotes a été décidée – pour, selon le communiqué officiel diffusé ce matin, optimaliser les chances de victoire de la marque – entre Stéphane Sarrazin et Nicolas Lapierre. Le Franco-Suisse sera dorénavant le coéquipier de Sébastien Buemi et de Anthony Davidson. En des termes moins alambiqués, on peut affirmer que ce trio constituera donc l’arme de pointe de Toyota ce qui, vu de ce côté ci de la frontière, n’est pas pour nous déplaire...
Autre remarque : chez Rebellion, on devrait également assister à un remaniement au sein des équipages (où deux pilotes restent à désigner, il faut le rappeler) avec Mathias Beche et Nicolas Prost qui, semble-t-il, devaient être réunis sur, théoriquement, la plus rapide des deux Rebellion R-One mais qui, en se basant sur la liste estampillée ACO (et son nouveau logo) seraient finalement dissociés.
Pas de souci de ce genre pour Patrick Pilet confirmé où on l’attendait, c’est-à-dire chez Manthey « usine » sur une Porsche 997 GT-Pro.
En revanche, le Pegasus Racing qui prévoit de faire rouler Niki Leutwiler (en ELMS) ne figure qu’en cinquième position des suppléants et ça aussi ce n’est pas réellement une surprise (voir notre info précédente) ; il faudra autant de défections d’ici ce printemps dans les catégories LMP pour avoir des chances de l’apercevoir sur la grille de départ.
Précision de taille concernant Toyota, un des prétendants à la victoire absolue en compagnie de Audi et de Porsche : une rocade (importante) de pilotes a été décidée – pour, selon le communiqué officiel diffusé ce matin, optimaliser les chances de victoire de la marque – entre Stéphane Sarrazin et Nicolas Lapierre. Le Franco-Suisse sera dorénavant le coéquipier de Sébastien Buemi et de Anthony Davidson. En des termes moins alambiqués, on peut affirmer que ce trio constituera donc l’arme de pointe de Toyota ce qui, vu de ce côté ci de la frontière, n’est pas pour nous déplaire...
Autre remarque : chez Rebellion, on devrait également assister à un remaniement au sein des équipages (où deux pilotes restent à désigner, il faut le rappeler) avec Mathias Beche et Nicolas Prost qui, semble-t-il, devaient être réunis sur, théoriquement, la plus rapide des deux Rebellion R-One mais qui, en se basant sur la liste estampillée ACO (et son nouveau logo) seraient finalement dissociés.