Il avait roulé en 2010 pour Matech, sur l’une des Ford GT lors des 1000 Km de Spa avec un podium à la clé. Dans la foulée, il avait réalisé d’excellents tests en LMP2 et il était même question que le team Gulf Middle East l’intègre dans son opération «24 Heures du Mans 2012 »sur l’une de ses Lola-Nissan (au côté de Jean-Denis Delétraz).
En automne passé, il se trouvait encore en piste, en essais privés, pour piloter l’une des LMP2 du OAK Racing, avec au final des chronos au niveau de Olivier Pla, la référence de la maison.
Or, à l’orée de cette saison 2013, le talentueux Yann ZIMMER (23 ans) n’a toujours rien de concret entre les mains, faute de « carburant » (financier).
L’an dernier à Montréal, il avait découvert le pilotage en NASCAR et d’emblée ses prestations s’étaient avérées concluantes à tel point qu’il avait pu s’aligner en Europe à l’occasion du rendez-vous de Tours (France).
Rencontré dans les travées du Salon de Genève, tout juste rentré des 500 Miles de Daytona et d’Austin, le Vaudois nous a confié avoir de bonnes chances de disputer l’ensemble de la saison européenne de la spécialité baptisée Euro-Racecar (qui comprendra treize courses respectivement à Nogaro le week-end de Pâques, puis à Dijon, Brands-Hatch, Tours, Aragon, Monza et Le Mans pour conclure à la mi-octobre) tout en gardant ouvertes toutes propositions pouvant le faire rebondir en endurance (car les 24 Heures du Mans l’obsèdent), voire en monoplace sa branche de prédilection. Mais c’est bien connu : à défaut de grives, on doit parfois se contenter de merles et sur ce sujet, bien des jeunes talents de ce pays en savent quelque chose. Cependant, s’il doit passer par là pour devenir le premier Helvète dans l’histoire à utiliser les ovales américains réservés à la NASCAR et ce dans un proche avenir, Zimmer sera le dernier à s’en plaindre…
En automne passé, il se trouvait encore en piste, en essais privés, pour piloter l’une des LMP2 du OAK Racing, avec au final des chronos au niveau de Olivier Pla, la référence de la maison.
Or, à l’orée de cette saison 2013, le talentueux Yann ZIMMER (23 ans) n’a toujours rien de concret entre les mains, faute de « carburant » (financier).
L’an dernier à Montréal, il avait découvert le pilotage en NASCAR et d’emblée ses prestations s’étaient avérées concluantes à tel point qu’il avait pu s’aligner en Europe à l’occasion du rendez-vous de Tours (France).
Rencontré dans les travées du Salon de Genève, tout juste rentré des 500 Miles de Daytona et d’Austin, le Vaudois nous a confié avoir de bonnes chances de disputer l’ensemble de la saison européenne de la spécialité baptisée Euro-Racecar (qui comprendra treize courses respectivement à Nogaro le week-end de Pâques, puis à Dijon, Brands-Hatch, Tours, Aragon, Monza et Le Mans pour conclure à la mi-octobre) tout en gardant ouvertes toutes propositions pouvant le faire rebondir en endurance (car les 24 Heures du Mans l’obsèdent), voire en monoplace sa branche de prédilection. Mais c’est bien connu : à défaut de grives, on doit parfois se contenter de merles et sur ce sujet, bien des jeunes talents de ce pays en savent quelque chose. Cependant, s’il doit passer par là pour devenir le premier Helvète dans l’histoire à utiliser les ovales américains réservés à la NASCAR et ce dans un proche avenir, Zimmer sera le dernier à s’en plaindre…