Sur sol autrichien, les championnats du monde de ski alpin déploient leur faste en seconde semaine, avec notamment l’épreuve du slalom masculin à laquelle un certain Christian VIAL est inscrit. Vial ? Un quasi inconnu dans le milieu : à 29 ans, il défend pourtant la bannière du Danemark alors qu’il est natif de St-Martin dans le canton de Fribourg avec des résultats qui, jusqu’à présent, ne soulèvent guère les passions.
Alors, pourquoi cette citation dans une rubrique qui traite des 24 Heures du Mans ? Tout simplement parce que Christian Vial n’est autre que le fils de Gérard Vial, à deux reprises engagé au Mans sur Porsche : en 1978 (abandon, avec Antoine Salamin et… Yves Courage, le futur constructeur, sur une 930) et en 79 (non-qualification sur une 934). Et que s’il s’aligne sous les couleurs du Danemark, c’est parce que sa mère est originaire de ce pays et que c’est plus facile – il faut le dire – de le faire ainsi que face à une concurrence interne (suisse) autrement plus musclée.
Cela dit, entre les trajectoires des esses Porsche et celles de Schladming, il y a sans doute quelques similitudes que père et fils ont du maîtriser. Où comment rouvrir le chapitre abordé ici il y a quelques jours portant le titre « bon sang ne saurait mentir… »… en se souvenant au passage que Christophe ROUX, le fils de Philippe (aperçu au Mans en 1979 sur une Cheetah de Chuck Graemiger) avait
pris part au géant et au slalom des Jeux Olympiques 2010 de Vancouver ainsi qu’aux Mondiaux de Are (2007), de Val d’Isère (2009) et de Garmisch (2011) pour le compte de la Moldavie, sur la base d’une astuce administrative dans ce cas-là…
Alors, pourquoi cette citation dans une rubrique qui traite des 24 Heures du Mans ? Tout simplement parce que Christian Vial n’est autre que le fils de Gérard Vial, à deux reprises engagé au Mans sur Porsche : en 1978 (abandon, avec Antoine Salamin et… Yves Courage, le futur constructeur, sur une 930) et en 79 (non-qualification sur une 934). Et que s’il s’aligne sous les couleurs du Danemark, c’est parce que sa mère est originaire de ce pays et que c’est plus facile – il faut le dire – de le faire ainsi que face à une concurrence interne (suisse) autrement plus musclée.
Cela dit, entre les trajectoires des esses Porsche et celles de Schladming, il y a sans doute quelques similitudes que père et fils ont du maîtriser. Où comment rouvrir le chapitre abordé ici il y a quelques jours portant le titre « bon sang ne saurait mentir… »… en se souvenant au passage que Christophe ROUX, le fils de Philippe (aperçu au Mans en 1979 sur une Cheetah de Chuck Graemiger) avait
pris part au géant et au slalom des Jeux Olympiques 2010 de Vancouver ainsi qu’aux Mondiaux de Are (2007), de Val d’Isère (2009) et de Garmisch (2011) pour le compte de la Moldavie, sur la base d’une astuce administrative dans ce cas-là…