Après le faste week-end du 14 avril à Silverstone marqué par de nombreux exploits suisses (2ème Fässler, 3èmeBuemi, 4ème Lapierre, 5ème et 6ème les Rebellion de Jani-Prost et de Beche en WEC et autant d’accessits à l’occasion de l’ouverture du championnat ELMS avec Hirschi, la paire Niederhauser-Frey et le team Morand/Genoud qui fait rouler Natacha Gachnang), c’est sur la côte Ouest des Etats-Unis que le festival helvétique sur quatre roues s’est poursuivi cette nuit (décalage oblige) avec la deuxième place dans les rues de Long-Beach de la REBELLION du Seélandais Neel JANI et de Nick Heidfeld.
C’était à l’occasion de la deuxième manche du championnat ALMS (le pendant de l’endurance mondiale) que l’équipe vaudoise a décidé de placer dans son viseur 2013, avec une cellule détachée sur le continent américain, en plus de son engagement solide dans le WEC. Partis en« pole », Neel Jani et son compère Heidfeld ont été dominés par la HPD-Honda des Allemands Lucas Luhr et de Klaus Graf davantage par les aléas de la safety car sortie à trois reprises que sur la valeur intrinsèque de leur Lola-Toyota.
Réduite à un rôle de (valeureux) figurant dans le championnat WEC compte tenu des inégalités des forces en présence face aux usines Audi et Toyota et aux règlements qui la pénalisent vis-à-vis des motorisations diesel et hybride, l’équipe Rebellion se ménage outre-Atlantique un terrain de jeu idéal, très exposé, pour faire valoir son potentiel et prétendre à autre chose (un titre officiel et reconnu) qu’à d’anonymes classements de viennent-ensuite, sans véritable relief. Pour l’heure, la démarche s’avère donc très positive puisque Rebellion et son duo d’anciens de la F1 occupent la tête du classement intermédiaire de l’ALMS, après Sebring et Long-Beach…
C’était à l’occasion de la deuxième manche du championnat ALMS (le pendant de l’endurance mondiale) que l’équipe vaudoise a décidé de placer dans son viseur 2013, avec une cellule détachée sur le continent américain, en plus de son engagement solide dans le WEC. Partis en« pole », Neel Jani et son compère Heidfeld ont été dominés par la HPD-Honda des Allemands Lucas Luhr et de Klaus Graf davantage par les aléas de la safety car sortie à trois reprises que sur la valeur intrinsèque de leur Lola-Toyota.
Réduite à un rôle de (valeureux) figurant dans le championnat WEC compte tenu des inégalités des forces en présence face aux usines Audi et Toyota et aux règlements qui la pénalisent vis-à-vis des motorisations diesel et hybride, l’équipe Rebellion se ménage outre-Atlantique un terrain de jeu idéal, très exposé, pour faire valoir son potentiel et prétendre à autre chose (un titre officiel et reconnu) qu’à d’anonymes classements de viennent-ensuite, sans véritable relief. Pour l’heure, la démarche s’avère donc très positive puisque Rebellion et son duo d’anciens de la F1 occupent la tête du classement intermédiaire de l’ALMS, après Sebring et Long-Beach…