Onzième des 24 Heures du Mans en juin dernier avec le team Rebellion (c’était sa huitième présence dans la Sarthe), encore au pied du podium (4ème) de l’ultime manche du WEC disputée à Shanghai en octobre, Harold Primat (38 ans) n’est curieusement plus réapparu sur les devants de la scène depuis lors : ni dans les intentions de son employeur Rebellion, ni sur les listes des principaux engagés aux prochaines 24 Heures.
On sait que le Genevois ne fait désormais plus partie des cadres de l’équipe vaudoise après seulement une année de collaboration. Pour le Mans, on n’entrevoit plus de volant de libre (en LMP1 s’entend) et s’il pense encore s’y aligner, ce sera sans doute en LMP2 ou en GT ; mais dans un cas comme dans l’autre, Primat marquerait là clairement un pas en retrait dans sa carrière qu’il a toujours essayé de tirer vers le haut, à une cadence régulière.
Chose certaine en revanche : ce week-end, il participera aux 12 Heures de Bathurst en Australie, au volant d’une Audi R8 du team allemand Phoenix. Une voiture susceptible de lui permettre de jouer la gagne en compagnie des Suédois Johan Kristoffersonn et Andreas Simonsen.
On sait que le Genevois ne fait désormais plus partie des cadres de l’équipe vaudoise après seulement une année de collaboration. Pour le Mans, on n’entrevoit plus de volant de libre (en LMP1 s’entend) et s’il pense encore s’y aligner, ce sera sans doute en LMP2 ou en GT ; mais dans un cas comme dans l’autre, Primat marquerait là clairement un pas en retrait dans sa carrière qu’il a toujours essayé de tirer vers le haut, à une cadence régulière.
Chose certaine en revanche : ce week-end, il participera aux 12 Heures de Bathurst en Australie, au volant d’une Audi R8 du team allemand Phoenix. Une voiture susceptible de lui permettre de jouer la gagne en compagnie des Suédois Johan Kristoffersonn et Andreas Simonsen.