L’événement revêtira quelque chose de solennel et de singulier : c’est en effet la première fois dans l’histoire des 24 Heures du Mans qu’un team chinois sera au départ de la célèbre épreuve d’endurance. A moins de quatre semaines de son déroulement, le KCMG – c’est l’appellation de cette écurie – poursuit de manière intensive sa préparation après des débuts officiels très encourageants vécus à Silverstone à la mi-avril, à l’occasion du lancement de la saison du WEC (6ème dans la catégorie LMP2). Preuve de son intention de ne pas faire les choses à moitié, KCMG était encore sur la brèche il y a quelques jours à Magny-Cours, pour des tests privés avec sa Morgan à moteur Nissan.
Pour nous Suisses, l’intérêt d’une telle présence est double : d’abord, des Chinois qui débarquent au Mans, ce n’est pas courant. Et surtout, l’un des trois membres de l’équipage dispose d’un passeport rouge à croix blanche : Alexandre Imperatori est en effet né à Châtel-St-Denis en avril 1987 et il s’alignera au Mans pour la première fois de sa carrière, une carrière essentiellement bâtie jusqu’ici sur les circuits d’Extrême Orient (Japon, Chine) : « Je pars en Autriche dans quelques jours avec mon coach personnel pour y suivre un entraînement spécifique car je sais que les exigences d’une telle course sont très élevées… ». Rappelons qu’Imperatori partagera le volant de son bolide avec le Britannique Matthew Howson et avec le Chinois Ho Pin Tung.
Avec, du côté de Rebellion, la présence de Cong Fu Cheng dans l’habitacle de l’une des deux Lola-Toyota vaudoise (Andrea Belicchi et Mathias Beche seront ses coéquipiers), l’heure du rapprochement sino-helvétique aurait-elle donc sonnée ? Question à poser aussi à notre ministre des affaires étrangères Didier Burkhalter et à celui de l’Economie, Johann Schneider-Ammann…
Pour nous Suisses, l’intérêt d’une telle présence est double : d’abord, des Chinois qui débarquent au Mans, ce n’est pas courant. Et surtout, l’un des trois membres de l’équipage dispose d’un passeport rouge à croix blanche : Alexandre Imperatori est en effet né à Châtel-St-Denis en avril 1987 et il s’alignera au Mans pour la première fois de sa carrière, une carrière essentiellement bâtie jusqu’ici sur les circuits d’Extrême Orient (Japon, Chine) : « Je pars en Autriche dans quelques jours avec mon coach personnel pour y suivre un entraînement spécifique car je sais que les exigences d’une telle course sont très élevées… ». Rappelons qu’Imperatori partagera le volant de son bolide avec le Britannique Matthew Howson et avec le Chinois Ho Pin Tung.
Avec, du côté de Rebellion, la présence de Cong Fu Cheng dans l’habitacle de l’une des deux Lola-Toyota vaudoise (Andrea Belicchi et Mathias Beche seront ses coéquipiers), l’heure du rapprochement sino-helvétique aurait-elle donc sonnée ? Question à poser aussi à notre ministre des affaires étrangères Didier Burkhalter et à celui de l’Economie, Johann Schneider-Ammann…