Au chapitre des rumeurs (lire déjà celles figurant sur ce site en date du 30 juillet), celle d’un retour de Ferrari en endurance et au Mans en particulier circule actuellement avec une certaine insistance en Italie. Des voitures rouges alignées par des privés qui participent aux 24 Heures, il y en a à nouveau depuis quelques années (des F458 Italia par exemple) ; mais elles n’ont évidemment pas le potentiel pour rivaliser avec les Audi, les Toyota et autres Rebellion pour la « gagne » absolue.
A Maranello, la rumeur n’a pas été démentie – ce qui est un signe – et on y reconnaît même qu’une décision devrait intervenir d’ici la fin de l’année à propos d’un engagement officiel qui pourrait s’opérer dès 2015 avec une LMP1 ; soit exactement 50 ans après le dernier succès d’une Ferrari dans la Sarthe (avec Jochen Rindt et Masten Gregory sur une 250 LM du NART). Ce n’est pas la première fois qu’un come-back de la marque au cheval cabré est évoqué : en 2009, lors de son passage au Mans pour y donner le départ des 24 Heures, Luca di Montezemolo, le Président de Ferrari, l’avait déjà sous-entendu ; mais le contexte de l’époque (règlements) ne s’y prêtait guère. Ce regain d’intérêt de grands noms pour l’endurance (après Audi, après Toyota, après Porsche, on parle aussi d’une possible implication plus marquée de Honda), c’est la preuve qu’à leur yeux, les 24 Heures du Mans retrouvent petit à petit leur place de rendez-vous incontournable dans une saison de compétition…
A Maranello, la rumeur n’a pas été démentie – ce qui est un signe – et on y reconnaît même qu’une décision devrait intervenir d’ici la fin de l’année à propos d’un engagement officiel qui pourrait s’opérer dès 2015 avec une LMP1 ; soit exactement 50 ans après le dernier succès d’une Ferrari dans la Sarthe (avec Jochen Rindt et Masten Gregory sur une 250 LM du NART). Ce n’est pas la première fois qu’un come-back de la marque au cheval cabré est évoqué : en 2009, lors de son passage au Mans pour y donner le départ des 24 Heures, Luca di Montezemolo, le Président de Ferrari, l’avait déjà sous-entendu ; mais le contexte de l’époque (règlements) ne s’y prêtait guère. Ce regain d’intérêt de grands noms pour l’endurance (après Audi, après Toyota, après Porsche, on parle aussi d’une possible implication plus marquée de Honda), c’est la preuve qu’à leur yeux, les 24 Heures du Mans retrouvent petit à petit leur place de rendez-vous incontournable dans une saison de compétition…