La 56ème place des stands des prochaines 24 Heures du Mans sera donc occupée par une invitée que nombre d’observateurs attendent désormais avec beaucoup d’impatience : la Green GT, mue par un moteur électrique (piles à combustible).
Certains la nommaient (déjà) l’Arlésienne mais un petit détour du côté d’Aclens, en campagne, à quelques kilomètres de Lausanne, nous a démontré que le chantier suivait son cours. Sur la base d’un châssis élaboré par l’équipe du Français Gérard Welter (connu notamment par ses réalisations WM à plusieurs reprises engagées au Mans et dont Claude Haldi fut l’un des pilotes à la fin des années 1980), le moteur est prêt à (re)passer au banc dans le local voisin du préparateur Marc de Siebenthal (réputé loin à la ronde pour ses restaurations de Porsche 911) tandis qu’à Grenoble, au centre de recherche national sur l’énergie électrique, on poursuit les ajustements qui permettront en principe à la Green GT de fonctionner selon des standards appropriés et de rouler dans la Sarthe en juin prochain, entre les mains entre autres de l’Italien Christian Pescatori (2ème en 2001 et 2002 des 24 Heures sur une…Audi usine).
Les premiers essais en piste sont programmés –en principe là aussi – pour avril, sur un tracé tenu secret.
Petit détail piquant : afin de se faire entendre sur le « pite-lane » des 24 Heures à chacune de ses visites à son stand, la Green GT – silencieuse dans sa marche, évidemment – devra adopter un système de bruitage, avec « haut-parleurs » et CD ncorporés pour avertir commissaires, mécaniciens et journalistes présents de son arrivée imminente dans les parages…
Certains la nommaient (déjà) l’Arlésienne mais un petit détour du côté d’Aclens, en campagne, à quelques kilomètres de Lausanne, nous a démontré que le chantier suivait son cours. Sur la base d’un châssis élaboré par l’équipe du Français Gérard Welter (connu notamment par ses réalisations WM à plusieurs reprises engagées au Mans et dont Claude Haldi fut l’un des pilotes à la fin des années 1980), le moteur est prêt à (re)passer au banc dans le local voisin du préparateur Marc de Siebenthal (réputé loin à la ronde pour ses restaurations de Porsche 911) tandis qu’à Grenoble, au centre de recherche national sur l’énergie électrique, on poursuit les ajustements qui permettront en principe à la Green GT de fonctionner selon des standards appropriés et de rouler dans la Sarthe en juin prochain, entre les mains entre autres de l’Italien Christian Pescatori (2ème en 2001 et 2002 des 24 Heures sur une…Audi usine).
Les premiers essais en piste sont programmés –en principe là aussi – pour avril, sur un tracé tenu secret.
Petit détail piquant : afin de se faire entendre sur le « pite-lane » des 24 Heures à chacune de ses visites à son stand, la Green GT – silencieuse dans sa marche, évidemment – devra adopter un système de bruitage, avec « haut-parleurs » et CD ncorporés pour avertir commissaires, mécaniciens et journalistes présents de son arrivée imminente dans les parages…