Les Suisses au Mans
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Potin

28/7/2017

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A prendre parfois le pouls auprès de fidèles lecteurs de notre série « Les Suisses au Mans », les quelques dessins qui y sont publiés régulièrement depuis 2012, en prise directe avec l’actualité des 24 Heures du Mans, semblent plutôt plaire. C’est Pierrick CHAZEAUD, résidant près de Tours soit à une soixantaine de kilomètres au sud du circuit accueillant la course, connu loin à la ronde pour son regard affûté et décalé, pour son coup de crayon caractéristique, qui en est à chaque édition l’auteur.
Il collaborera cette année encore à notre publication avec des sujets restituant notamment l’aventure de la « VAILLANTE REBELLION » et l’incroyable mania qui l’entoura et rappelant la malchance tenace qui colle aux basques de Sébastien BUEMI. Tout cela sera à découvrir d’ici le début décembre prochain, date programmée de parution du tome no 12. Un autre dessinateur, Pierre-Yves DUPARC, installé lui dans la banlieue de Genève, y « sévira » pour la première fois avec une fresque résumant les moments forts vécus par Marcel FAESSLER dans la Sarthe entre 2006 et 2016, avec évidemment ses trois victoires absolues comme vecteurs. De l’histoire ancienne, déjà…
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En juin dernier, à l’avant-veille de la course, autour d’une fondue réunissant dans l’espace hospitalier du team Rebellion la plupart des collaborateurs « extérieurs » – des photographes essentiellement – du livre « Les Suisses au Mans » (sur notre cliché, on aperçoit notamment sur la droite Jean-Baptiste Lassaux), Pierrick Chazeaud (au centre) était venu étaler certains de ses dessins dédiés aux concurrents suisses. Visiblement, le jeune Vaudois Hugo de SADELEER (20 ans depuis le 16 juillet passé) tout sourire à ses côtés et qui au final allait s’avérer être le meilleur représentant de la colonie suisse (5ème au « général » sur sa Ligier LMP2) passait également un bon moment…

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Potin

25/7/2017

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1977-1994 : ce n’est pas une annotation figurant sur la tombe d’un quelconque cimetière mais bien la période qui s’étale donc sur dix-sept ans et qui vit de nombreuses SAUBER prendre le départ des 24 Heures du Mans. Avec un pic formidable vécu en 1989 et le doublé signé des C9 à moteur Mercedes par les équipages MASS/REUTER/DICKENS et Brancatelli/Acheson/Baldi ! Une grande première sur le plan suisse.
Deux années plus tard, avec la C11, Peter Sauber disposait de toutes les cartes pour rééditer cet exploit et même mieux (un triplé) ; mais une fin de course mouvementée (problème récurrent de support d’alternateur) vint tout jeter à terre. Maigre consolation : au volant de l’une d’elles, Michael SCHUMACHER allait réaliser ce week-end là le meilleur chrono en course !
La première Sauber (le modèle C5 actionné par un moteur BMW) à avoir été alignée dans la Sarthe en juin 1977 fut attribuée au tandem suisse alémanique formé de Eugen STRAEHL et de Peter BERNHARD (notre photo). Elle se situait dans le peloton de tête de la catégorie des 2 litres jusqu’à son abandon (fuite d’huile) survenu au petit matin.
Au total, en comptabilisant les bolides préparés par des teams privés (comme par exemple celui du Savoyard Noël del Bello) et selon notre estimation, ce sont vingt-cinq Sauber qui dans l’histoire prirent le départ des 24 Heures.
Au niveau des pilotes suisses, on aperçut successivement à leur volant Eugen Straehl et Peter Bernhard (les « pionniers » dont on vient de parler) puis Marc SURER, Harry BLUMER (1978), Walter BRUN (sur une SHS) en 1982, Pierre-Alain LOMBARDI (1987) et Bernard SANTAL (1988). Quant à Max WELTI, pressenti en 1985 sur une C8, il dut déclarer forfait après le retrait de son équipe suite à des problèmes d’appuis qui avaient expédié son coéquipier le Danois John Nielsen dans les airs des Hunaudières…
C’est en 1994 que la dernière Sauber (privée car l’usine d’Hinwil avait fait le choix de bifurquer vers la F1 une année auparavant) fut alignée au Mans ; elle était confiée au trio français composé de Olivier Couvreur/Nicolas Minassian/Patrick Bourdais (le père de Sébastien) et elle fut contrainte à l’abandon.
La plupart de ces véhicules qui ont marqué l’histoire de l’endurance et du Mans dans la dernière partie du 20ème siècle seront bientôt visibles en Romandie, d’abord lors de la Rétro d’OLLON-VILLARS à la fin août puis à ROMANEL-SUR-LAUSANNE (au Speedy Garage) au début décembre dans le cadre du lancement du tome 12 de notre série « Les Suisses au Mans » et de l’exposition exceptionnelle consacrée aux 24 Heures du Mans et des voitures suisses qui s’y illustrèrent. A l’image, souvent, des Sauber…



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News

21/7/2017

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Il n’avait jamais participé aux 24 Heures du Mans ; mais il s’était notamment distingué à Daytona-Beach – le pendant américain de l’épreuve mancelle – et était le papa de Joël aperçu à deux reprises dans la Sarthe avec une Porsche GTE (2012 & 2016) : Romeo CAMATHIAS s’est éteint le 22 mai dernier à Lugano. Il aurait fêté ses 70 ans le 16 décembre prochain.
Son entrée en sport automobile avait été tonitruante : en février 1977, alors âgé de 30 ans, il s’était d’emblée mis en évidence en s’adjugeant la 2ème place absolue à l’occasion des 24 Heures de DAYTONA au volant d’une Porsche 935 du team Jolly Club. Quelques semaines plus tard, il récidivait, avec le même matériel et la même structure (les Italiens Finotto et Facetti étaient ses coéquipiers) lors de la course du Mugello, manche du championnat du monde des marques.
L’année suivante, c’est en F2 (l’antichambre de la F1 à l’époque) qu’il tentait sa chance – au moment où un certain Marc SURER, engagé par l’usine March-BMW entamait son ascension vers les GP – successivement à THRUXTON (16ème) et à Hockenheim au volant d’une Ralt à moteur BMW/Mader. Mais très vite, il décidait de marquer une longue pause dans son parcours et choisissait ensuite le « Tourisme » (24 Heures de Spa, 17ème en 1988) avec des Alfa Romeo, des BMW et des Ford Sierra Cosworth.
Directeur de la société « Camathias Group » basée à Lugano-Paradiso, il oeuvrait dans la finance et l’immobilier. Et pour la petite histoire, il était aussi le neveu de FLORIAN Camathias installé à Veytaux/Montreux, pilote émérite de side-car au niveau international dans les années 1960 (s’imposant notamment lors du fameux Tourist Trophy sur l’Ile de Man), décédé à Brands-Hatch en 1965.

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Au Mans, en 2012, Romeo Camathias était venu soutenir son fils Joël qui débutait dans la Sarthe. Leur entente et les liens qui les unissaient étaient très forts. Joël allait alors se classer 33ème au volant d’une Porsche 911 RSR.
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Potin

19/7/2017

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Mais que font donc les mouvements féministes de la planète ? Il y a un mois, sur la grille de départ des 24 Heures du Mans, il n’y avait qu’une seule fille (soit 0,01% du total du plateau) en combinaison de pilote : la Danoise Christina NIELSEN. Elle s’y est finalement classée 44ème au volant de sa Ferrari 488 engagée en LMGTE-Am par la Scuderia Corsa.
Dans l’histoire des 24 Heures, c’est la période située entre les deux guerres mondiales (1929-1939) qui coïncida avec les taux les plus élevés de participation féminine. Et à ce jour, le record absolu est fixé à dix filles, oui dix, en lice la même année ; c’était en 1935 ! Quant au classement le plus flatteur obtenu par un équipage du sexe dit faible (utilise t’on encore cette métaphore ?), l’événement remonte à 1930 avec la brillante septième place au « général » décrochée par les Françaises Odile Siko et Marguerite Mareuse sur une Bugatti. Siko fut encore plus performante deux éditions plus tard (avec l’aide du dénommé Louis Charavel) en se classant 4ème sur une Alfa Romeo !
L’une des dernières à s’être aventurée dans la Sarthe n’est autre que la Vaudoise Natacha GACHNANG (30 ans en octobre prochain) qui porte désormais le nom de son mari, SOTTAS ; après son expérience écourtée avec la Matech Ford GT (abandon avec ses coéquipières Rahel Frey et Cyndie Allemann suite à un incendie), elle revint en 2013 au Mans au sein du team de Benoît Morand pour y cueillir un très bon résultat (11ème au volant d’une Morgan-Judd LMP2). Depuis, Natacha a d’autres centres d’intérêt dans la vie même si elle fera une amicale réapparition, sur un produit « maison » c’est-à-dire une Cegga-Maserati, lors de la Rétro Ollon-Villars prévue à la fin août : elle exerce depuis quelques temps déjà la profession de monitrice d’auto-école dans la région du Chablais (Aigle-Monthey) ; et dans l’intervalle, elle a accouché d’un petit Tyron âgé de huit mois aujourd’hui.
Avec une maman pilote au Mans (sans parler de son parcours en monoplace), un oncle – Sébastien BUEMI, 55 départs en GP, suivis de ses exploits avec Toyota en endurance et en Formule E avec Renault/DAMS – un grand-père, Olivier, tout aussi passionné par les sports mécaniques, patron de la maison de vêtements WARSON spécialisée dans le domaine et un arrière-grand-père, Georges, au palmarès (en montagne surtout) long comme un jour sans pain, la valeur n’attendra sans doute point le nombre des années… 
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News

11/7/2017

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Nous vous l’annoncions en primeur le 15 mai dernier dans une de nos « news » : une exceptionnelle exposition de voitures ayant participé aux 24 Heures du Mans se tiendra du 6 au 13 décembre prochain dans les locaux du « SPEEDY GARAGE » à Romanel-sur-Lausanne, fief du team REBELLION. Soit dans moins de cinq mois ! L’affiche, basée sur la mise en lumière de bolides ayant permis à des pilotes et des teams suisses de briller dans la Sarthe de 1923 (date de la création de l’épreuve) à nos jours, promet d’être attrayante et singulière avec au moins 25 modèles originaux dont des PORSCHE bien sûr qui attirèrent bon nombre de compétiteurs helvétiques, une AUDI, des LOLA, des FERRARI, des SAUBER, une CHEVRON, une CHEETAH et évidemment toute la gamme des protos que l’écurie Rebellion a engagé au Mans depuis 2007 en commençant par des SPYKER, en poursuivant avec des LOLA et finalement en se liant avec ORECA depuis 2014. Petit exemple – pour vous faire déjà saliver – de ce que cette « rétro » comprendra comme attractions : la Berliet VH 12 HP (en fait, un modèle similaire) avec laquelle le Bâlois Eduard PROBST né en 1898 et premier pilote Suisse à s’être présenté au départ des 24 Heures du Mans en 1923 (notre photo de l’époque) et la Porche 919 hybrid gagnante en 2016 avec Neel JANI au volant seront de la partie ! Comme pour mieux voyager et se guider à travers un siècle des 24 Heures. Vous avez dit bluffant ? Vous ne serez pas déçu…et conseil d’ami : cochez ces dates sur votre agenda (électronique ou de papier) et suivez régulièrement le contenu de nos « news » sur notre site pour en savoir davantage.
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Potin

8/7/2017

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Il y a (déjà) onze ans de cela ! Au Mans, le drapeau suisse flottait à nouveau au sommet des mâts grâce à la présence, sur la piste, de la Swiss Spirit, confiée alors au trio Philipp Peter/Marcel Fässler/Harold Primat. Cette participation, abrégée suite à des problèmes de boîte de vitesses survenus en course, allait déclencher – sans le savoir bien évidemment – un véritable raz de marée rouge et blanc dans la Sarthe. Avec d’abord la suite de ce programme soutenue par…AUDI (au niveau de la motorisation, la seule entorse à un team privé concédée par le constructeur d’Ingolstadt) puis avec l’entrée en scène et en crescendo de l’écurie vaudoise REBELLION (d’abord avec des Spyker, en 2007) et enfin avec l’avalanche de podiums (sept d’affilée entre 2010 et 2016) et les victoires de Marcel FAESSLER (2011, 12, 14) et de Neel JANI (2016). Un raz de marée ? Non, un tsunami !
C’est ce déclenchement avec SWISS SPIRIT (en juin 2006 donc), son histoire, ses à-côtés, ses coulisses, ses intrigues (avec moult photos encore jamais publiées) écrites par l’un de ses fédérateurs, Gérard VALLAT par ailleurs coauteur de notre ouvrage, que vous pourrez découvrir dans le prochain tome (no 12) du livre « Les Suisses au Mans » à paraître au début décembre.

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Juin 2007, lors de la Parade dans les rues du Mans, à la veille des 24 Heures : inscrits sur la Lola Swiss Spirit LMP1 à moteur Audi, Iradj Alexander David, Jean-Denis Delétraz et Marcel Fässler répondent aux sollicitations de la foule. Louis Delétraz (au premier plan), alors âgé de 10 ans, et Gérard Vallat dont on devine la silhouette sur la droite, partagent ce moment de convivialité. (Photo Gérard T’Sertevens)
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Potin

5/7/2017

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Sur le circuit sarthois, le chat noir qui s’est glissé clandestinement depuis pas mal de temps déjà dans la Toyota TS050 hybrid de Sébastien BUEMI a donc à nouveau fait des siennes lors des dernières 24 Heures du Mans : le Vaudois – bientôt papa pour la deuxième fois, ceci pour la petite histoire – avait alors toutes les cartes en mains pour enfin s’imposer dans cette épreuve (après ses podiums de 2013 & 14) et rejoindre ainsi au panthéon ses copains Marcel Fässler (vainqueur en 2011, 2012, 2014) et Neel Jani (2016). Mais une fois de plus, la scoumoune s’est acharnée sur sa monture.
Après une très longue séance de mécanique (deux heures d’immobilisation à son stand, en fin de soirée samedi) – notre photo de Christian Borel – Buemi est reparti le couteau entre les dents pour remonter de la 54ème à la 8ème place ! Au passage, il a réalisé un « truc » : devenir LE PREMIER PILOTE SUISSE dans l’histoire des 24 Heures à signer, en course, le meilleur chrono sur un tour. A plus de 247 km/h. de moyenne ! Maigre consolation mais consolation tout de même puisque dans cette hiérarchie, il devance désormais et pour toujours les icônes de son pays que sont Jo Siffert, Herbert Müller, Marcel Fässler et Neel Jani, jamais à pareille fête dans la Sarthe en dépit de leurs tentatives et du potentiel de leur matériel qui (parfois voire souvent) leur aurait permis de viser cet exploit.
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Potin

3/7/2017

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En terminant brillant 7ème des dernières 24 Heures du Mans (et 6ème de la catégorie LMP2) au terme d’une chevauchée remarquable, Jonathan HIRSCHI (31 ans) a battu un vieux « record » : celui du Neuchâtelois le mieux classé dans l’histoire de cette mythique épreuve. En la matière, le meilleur résultat jusque là était détenu par la paire Hubert PATTHEY-Georges André BERGER qui s’était classée 9ème de l’édition…1958 des 24 Heures au volant d’une AC Bristol !
Hirschi pilotait une Oreca-Gibson du team Manor (ex-F1) et était accompagné par Jean-Eric Vergne et par Tor Graves. C’était sa cinquième participation dans la Sarthe.
Pour le prochain rendez-vous du WEC (le 16 juillet sur le Nürburgring), Hirschi devra composer avec un nouvel équipier – l’Espagnol Roberto MERHI, vu chez…Manor en GP en 2015 – Vergne étant retenu le même week-end par la manche du championnat de Formule E à New-York.
Hirschi a de qui tenir puisque son père Pierre était l’un des animateurs du championnat suisse de GT et de F3 dans les années 1980-90 et qu’il continue d’ailleurs à s’aligner dans des épreuves internationales de GT au volant d’une BMW. Quant à son frère, il apprécie apparemment la vitesse et les sensations fortes lui aussi puisqu’il est pilote de milice de…FA/18 au sein de l’armée suisse !

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Dimanche 18 juin, fin de matinée au Mans, dans le box Manor : Olivia sa compagne, Jonathan Hirschi, Jean-Marie Wyder et Pierre Hirschi son père (de gauche à droite) devisent alors que Jonathan vient de boucler son dernier relais.

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News

1/7/2017

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Réduits à l’inaction en WEC après que le team Rebellion n’ait pas renouvelé leur contrat pour 2017, Alexandre IMPERATORI et Mathéo TUSCHER étaient néanmoins présents au Mans il y a quinze jours, sur l’invitation de…Rebellion, pour assister aux 24 Heures. Si Imperatori a pu rebondir et relancer son parcours en GT (sur PORSCHE en Europe et sur BENTLEY en Asie), Tuscher reste au repos total, si ce n’est ses piges en tant que consultant F1 sur la TSR. Mais les choses devraient (en principe) prochainement se décanter pour lui avec une possibilité de rouler aux Etats-Unis, en IndyCar. En évoquant les USA et en pensant à un autre laissé pour compte, c’est-à-dire le Vaudois Yann ZIMMER (27 ans le 7 juillet prochain), lui aussi devrait bientôt pouvoir concrétiser ses rêves après avoir été délaissé par le « milieu » en participant cet été encore à quelques courses de NASCAR et ce dans la ligue B de la discipline. Avec pour objectif à moyen terme de devenir le premier pilote suisse titulaire d’un baquet dans cette prestigieuse série.
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    LES NEWS ET LES POTINS DE JMW

    Auteur

    Jean-Marie Wyder

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    Après un silence de plus de six mois – et à la demande générale, restons modestes… – nous avons décidé de redonner vie à ce site. Comme annoncé à l’époque (novembre 2016), ce sera sous une forme un peu différente, mais le plus souvent décalée, sans servir de manière servile et infantile la soupe proposée par des communicants de tout poil, autoproclamés seuls compétents, en faisant par conséquent la part belle aux infos inédites et colorées. En espérant que cette correction de trajectoire vous plaira – merci d’avance pour vos futurs commentaires – et vous permettra de rester branchés, en particulier sur les 24 Heures du Mans et ses acteurs suisses ; d’hier comme d’aujourd’hui. (jmw/jean-marie wyder)


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