Sur le circuit sarthois, le chat noir qui s’est glissé clandestinement depuis pas mal de temps déjà dans la Toyota TS050 hybrid de Sébastien BUEMI a donc à nouveau fait des siennes lors des dernières 24 Heures du Mans : le Vaudois – bientôt papa pour la deuxième fois, ceci pour la petite histoire – avait alors toutes les cartes en mains pour enfin s’imposer dans cette épreuve (après ses podiums de 2013 & 14) et rejoindre ainsi au panthéon ses copains Marcel Fässler (vainqueur en 2011, 2012, 2014) et Neel Jani (2016). Mais une fois de plus, la scoumoune s’est acharnée sur sa monture.
Après une très longue séance de mécanique (deux heures d’immobilisation à son stand, en fin de soirée samedi) – notre photo de Christian Borel – Buemi est reparti le couteau entre les dents pour remonter de la 54ème à la 8ème place ! Au passage, il a réalisé un « truc » : devenir LE PREMIER PILOTE SUISSE dans l’histoire des 24 Heures à signer, en course, le meilleur chrono sur un tour. A plus de 247 km/h. de moyenne ! Maigre consolation mais consolation tout de même puisque dans cette hiérarchie, il devance désormais et pour toujours les icônes de son pays que sont Jo Siffert, Herbert Müller, Marcel Fässler et Neel Jani, jamais à pareille fête dans la Sarthe en dépit de leurs tentatives et du potentiel de leur matériel qui (parfois voire souvent) leur aurait permis de viser cet exploit.
Après une très longue séance de mécanique (deux heures d’immobilisation à son stand, en fin de soirée samedi) – notre photo de Christian Borel – Buemi est reparti le couteau entre les dents pour remonter de la 54ème à la 8ème place ! Au passage, il a réalisé un « truc » : devenir LE PREMIER PILOTE SUISSE dans l’histoire des 24 Heures à signer, en course, le meilleur chrono sur un tour. A plus de 247 km/h. de moyenne ! Maigre consolation mais consolation tout de même puisque dans cette hiérarchie, il devance désormais et pour toujours les icônes de son pays que sont Jo Siffert, Herbert Müller, Marcel Fässler et Neel Jani, jamais à pareille fête dans la Sarthe en dépit de leurs tentatives et du potentiel de leur matériel qui (parfois voire souvent) leur aurait permis de viser cet exploit.