Mais que font donc les mouvements féministes de la planète ? Il y a un mois, sur la grille de départ des 24 Heures du Mans, il n’y avait qu’une seule fille (soit 0,01% du total du plateau) en combinaison de pilote : la Danoise Christina NIELSEN. Elle s’y est finalement classée 44ème au volant de sa Ferrari 488 engagée en LMGTE-Am par la Scuderia Corsa.
Dans l’histoire des 24 Heures, c’est la période située entre les deux guerres mondiales (1929-1939) qui coïncida avec les taux les plus élevés de participation féminine. Et à ce jour, le record absolu est fixé à dix filles, oui dix, en lice la même année ; c’était en 1935 ! Quant au classement le plus flatteur obtenu par un équipage du sexe dit faible (utilise t’on encore cette métaphore ?), l’événement remonte à 1930 avec la brillante septième place au « général » décrochée par les Françaises Odile Siko et Marguerite Mareuse sur une Bugatti. Siko fut encore plus performante deux éditions plus tard (avec l’aide du dénommé Louis Charavel) en se classant 4ème sur une Alfa Romeo !
L’une des dernières à s’être aventurée dans la Sarthe n’est autre que la Vaudoise Natacha GACHNANG (30 ans en octobre prochain) qui porte désormais le nom de son mari, SOTTAS ; après son expérience écourtée avec la Matech Ford GT (abandon avec ses coéquipières Rahel Frey et Cyndie Allemann suite à un incendie), elle revint en 2013 au Mans au sein du team de Benoît Morand pour y cueillir un très bon résultat (11ème au volant d’une Morgan-Judd LMP2). Depuis, Natacha a d’autres centres d’intérêt dans la vie même si elle fera une amicale réapparition, sur un produit « maison » c’est-à-dire une Cegga-Maserati, lors de la Rétro Ollon-Villars prévue à la fin août : elle exerce depuis quelques temps déjà la profession de monitrice d’auto-école dans la région du Chablais (Aigle-Monthey) ; et dans l’intervalle, elle a accouché d’un petit Tyron âgé de huit mois aujourd’hui.
Avec une maman pilote au Mans (sans parler de son parcours en monoplace), un oncle – Sébastien BUEMI, 55 départs en GP, suivis de ses exploits avec Toyota en endurance et en Formule E avec Renault/DAMS – un grand-père, Olivier, tout aussi passionné par les sports mécaniques, patron de la maison de vêtements WARSON spécialisée dans le domaine et un arrière-grand-père, Georges, au palmarès (en montagne surtout) long comme un jour sans pain, la valeur n’attendra sans doute point le nombre des années…
Dans l’histoire des 24 Heures, c’est la période située entre les deux guerres mondiales (1929-1939) qui coïncida avec les taux les plus élevés de participation féminine. Et à ce jour, le record absolu est fixé à dix filles, oui dix, en lice la même année ; c’était en 1935 ! Quant au classement le plus flatteur obtenu par un équipage du sexe dit faible (utilise t’on encore cette métaphore ?), l’événement remonte à 1930 avec la brillante septième place au « général » décrochée par les Françaises Odile Siko et Marguerite Mareuse sur une Bugatti. Siko fut encore plus performante deux éditions plus tard (avec l’aide du dénommé Louis Charavel) en se classant 4ème sur une Alfa Romeo !
L’une des dernières à s’être aventurée dans la Sarthe n’est autre que la Vaudoise Natacha GACHNANG (30 ans en octobre prochain) qui porte désormais le nom de son mari, SOTTAS ; après son expérience écourtée avec la Matech Ford GT (abandon avec ses coéquipières Rahel Frey et Cyndie Allemann suite à un incendie), elle revint en 2013 au Mans au sein du team de Benoît Morand pour y cueillir un très bon résultat (11ème au volant d’une Morgan-Judd LMP2). Depuis, Natacha a d’autres centres d’intérêt dans la vie même si elle fera une amicale réapparition, sur un produit « maison » c’est-à-dire une Cegga-Maserati, lors de la Rétro Ollon-Villars prévue à la fin août : elle exerce depuis quelques temps déjà la profession de monitrice d’auto-école dans la région du Chablais (Aigle-Monthey) ; et dans l’intervalle, elle a accouché d’un petit Tyron âgé de huit mois aujourd’hui.
Avec une maman pilote au Mans (sans parler de son parcours en monoplace), un oncle – Sébastien BUEMI, 55 départs en GP, suivis de ses exploits avec Toyota en endurance et en Formule E avec Renault/DAMS – un grand-père, Olivier, tout aussi passionné par les sports mécaniques, patron de la maison de vêtements WARSON spécialisée dans le domaine et un arrière-grand-père, Georges, au palmarès (en montagne surtout) long comme un jour sans pain, la valeur n’attendra sans doute point le nombre des années…