Les Suisses au Mans
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Potin

8/7/2017

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Il y a (déjà) onze ans de cela ! Au Mans, le drapeau suisse flottait à nouveau au sommet des mâts grâce à la présence, sur la piste, de la Swiss Spirit, confiée alors au trio Philipp Peter/Marcel Fässler/Harold Primat. Cette participation, abrégée suite à des problèmes de boîte de vitesses survenus en course, allait déclencher – sans le savoir bien évidemment – un véritable raz de marée rouge et blanc dans la Sarthe. Avec d’abord la suite de ce programme soutenue par…AUDI (au niveau de la motorisation, la seule entorse à un team privé concédée par le constructeur d’Ingolstadt) puis avec l’entrée en scène et en crescendo de l’écurie vaudoise REBELLION (d’abord avec des Spyker, en 2007) et enfin avec l’avalanche de podiums (sept d’affilée entre 2010 et 2016) et les victoires de Marcel FAESSLER (2011, 12, 14) et de Neel JANI (2016). Un raz de marée ? Non, un tsunami !
C’est ce déclenchement avec SWISS SPIRIT (en juin 2006 donc), son histoire, ses à-côtés, ses coulisses, ses intrigues (avec moult photos encore jamais publiées) écrites par l’un de ses fédérateurs, Gérard VALLAT par ailleurs coauteur de notre ouvrage, que vous pourrez découvrir dans le prochain tome (no 12) du livre « Les Suisses au Mans » à paraître au début décembre.

Photo
Juin 2007, lors de la Parade dans les rues du Mans, à la veille des 24 Heures : inscrits sur la Lola Swiss Spirit LMP1 à moteur Audi, Iradj Alexander David, Jean-Denis Delétraz et Marcel Fässler répondent aux sollicitations de la foule. Louis Delétraz (au premier plan), alors âgé de 10 ans, et Gérard Vallat dont on devine la silhouette sur la droite, partagent ce moment de convivialité. (Photo Gérard T’Sertevens)
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Potin

5/7/2017

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Sur le circuit sarthois, le chat noir qui s’est glissé clandestinement depuis pas mal de temps déjà dans la Toyota TS050 hybrid de Sébastien BUEMI a donc à nouveau fait des siennes lors des dernières 24 Heures du Mans : le Vaudois – bientôt papa pour la deuxième fois, ceci pour la petite histoire – avait alors toutes les cartes en mains pour enfin s’imposer dans cette épreuve (après ses podiums de 2013 & 14) et rejoindre ainsi au panthéon ses copains Marcel Fässler (vainqueur en 2011, 2012, 2014) et Neel Jani (2016). Mais une fois de plus, la scoumoune s’est acharnée sur sa monture.
Après une très longue séance de mécanique (deux heures d’immobilisation à son stand, en fin de soirée samedi) – notre photo de Christian Borel – Buemi est reparti le couteau entre les dents pour remonter de la 54ème à la 8ème place ! Au passage, il a réalisé un « truc » : devenir LE PREMIER PILOTE SUISSE dans l’histoire des 24 Heures à signer, en course, le meilleur chrono sur un tour. A plus de 247 km/h. de moyenne ! Maigre consolation mais consolation tout de même puisque dans cette hiérarchie, il devance désormais et pour toujours les icônes de son pays que sont Jo Siffert, Herbert Müller, Marcel Fässler et Neel Jani, jamais à pareille fête dans la Sarthe en dépit de leurs tentatives et du potentiel de leur matériel qui (parfois voire souvent) leur aurait permis de viser cet exploit.
Photo
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Potin

3/7/2017

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En terminant brillant 7ème des dernières 24 Heures du Mans (et 6ème de la catégorie LMP2) au terme d’une chevauchée remarquable, Jonathan HIRSCHI (31 ans) a battu un vieux « record » : celui du Neuchâtelois le mieux classé dans l’histoire de cette mythique épreuve. En la matière, le meilleur résultat jusque là était détenu par la paire Hubert PATTHEY-Georges André BERGER qui s’était classée 9ème de l’édition…1958 des 24 Heures au volant d’une AC Bristol !
Hirschi pilotait une Oreca-Gibson du team Manor (ex-F1) et était accompagné par Jean-Eric Vergne et par Tor Graves. C’était sa cinquième participation dans la Sarthe.
Pour le prochain rendez-vous du WEC (le 16 juillet sur le Nürburgring), Hirschi devra composer avec un nouvel équipier – l’Espagnol Roberto MERHI, vu chez…Manor en GP en 2015 – Vergne étant retenu le même week-end par la manche du championnat de Formule E à New-York.
Hirschi a de qui tenir puisque son père Pierre était l’un des animateurs du championnat suisse de GT et de F3 dans les années 1980-90 et qu’il continue d’ailleurs à s’aligner dans des épreuves internationales de GT au volant d’une BMW. Quant à son frère, il apprécie apparemment la vitesse et les sensations fortes lui aussi puisqu’il est pilote de milice de…FA/18 au sein de l’armée suisse !

Photo
Dimanche 18 juin, fin de matinée au Mans, dans le box Manor : Olivia sa compagne, Jonathan Hirschi, Jean-Marie Wyder et Pierre Hirschi son père (de gauche à droite) devisent alors que Jonathan vient de boucler son dernier relais.

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News

1/7/2017

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Réduits à l’inaction en WEC après que le team Rebellion n’ait pas renouvelé leur contrat pour 2017, Alexandre IMPERATORI et Mathéo TUSCHER étaient néanmoins présents au Mans il y a quinze jours, sur l’invitation de…Rebellion, pour assister aux 24 Heures. Si Imperatori a pu rebondir et relancer son parcours en GT (sur PORSCHE en Europe et sur BENTLEY en Asie), Tuscher reste au repos total, si ce n’est ses piges en tant que consultant F1 sur la TSR. Mais les choses devraient (en principe) prochainement se décanter pour lui avec une possibilité de rouler aux Etats-Unis, en IndyCar. En évoquant les USA et en pensant à un autre laissé pour compte, c’est-à-dire le Vaudois Yann ZIMMER (27 ans le 7 juillet prochain), lui aussi devrait bientôt pouvoir concrétiser ses rêves après avoir été délaissé par le « milieu » en participant cet été encore à quelques courses de NASCAR et ce dans la ligue B de la discipline. Avec pour objectif à moyen terme de devenir le premier pilote suisse titulaire d’un baquet dans cette prestigieuse série.
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Potin

14/6/2017

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Steve Zacchia, trois fois au départ des 24 Heures du Mans (16è en 2003, alors agé de vingt ans, sur une Chrysler Viper du Larbre Compétition, abandon en 2008 sur une Lola B08/80 Judd du Speedy Racing et abandon en 2011 sur l'Oreca Swiss HY du Hope Racing de Benoit Morand) était de passage au Mans ce mercredi 14 juin 2017. Avec une envie de tenter à nouveau sa chance en 2018?
Il a en tous les cas repris non sans plaisir le volant de la Ferrari 550 Maranello qui lui avait permis de remporter en 2004 (pour Larbre Compétition et avec Christophe Bouchut et Pedro Lamy comme équipiers), le titre LMES en catégrie GTS.

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News

14/6/2017

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La couverture médiatique des 24 Heures de ce week-end s’annonce copieuse pour les mordus de l’endurance et de cette mythique épreuve. Au niveau des TV, EUROSPORT couvrira l’événement en intégralité (nuit comprise) et ce dès aujourd’hui avec les premiers essais libres (16h00). Bel effort également de la part de France Télévisons et de ses chaînes publiques FRANCE 2 & FRANCE 3 qui occuperont plusieurs créneaux dans leur programme, avec bien sûr le départ et l’arrivée proposés en direct.
Notre site s’associera avec celui de www.sport-auto.ch pour vous faire vivre en live le déroulement de la course en mettant  évidemment l’accent sur la prestation des onze pilotes suisses engagés.
Enfin, pour ceux qui préféreraient le son plutôt que l’image ou pour ceux qui seront alors sur la route, il y aura plusieurs rendez-vous prévus samedi soir sur la RTS LA 1ère, dans le cadre de l’émission « Sport-Première », avec de nombreux interviews et l’intervention en direct du soussigné qui fera régulièrement le point de la course en compagnie de quelques invités. Vous ne devriez par conséquent rien manquer de cet événement que les Suisses, avec Neel Jani (Porsche), Nicolas Lapierre et Sébastien Buemi (Toyota) – sans parler de nos compatriotes inscrits en LMP2 et en GT – abordent avec de solides chances de finir sur le podium dimanche sur le coup des 15h15 !

Photo
C’était sur le circuit de Lignières (Neuchâtel), le mercredi 7 juin dernier, soit trois jours après la « Journée Test » des 24 Heures : Stéphane Trisconi, animateur de l’émission « Sport-Première » du samedi soir sur la RTS, Neel Jani, Jean-Marie Wyder, Sébastien Buemi et Marcel Fässler (de gauche à droite) prennent la pose en toute décontraction. (photo ARC)
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Potin

13/6/2017

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Ils brilleront cette année par leur absence. Au « turbin » l’an dernier, ils ont en effet décidé (ou, le plus souvent, été contraint…) de faire l’impasse sur l’édition 2017 des 24 Heures. Dans de précédents « potins », on avait déjà évoqué les cas de Joël CAMATHIAS et de Benoît MORAND. Il faut y ajouter les noms du Genevois Gary HIRSCH, en panne de budget et carrément éloigné de la scène depuis quelques mois, de Michel Frey, de Niki Leutwiler et des Romands Alexandre Imperatori et Mathéo Tuscher.
Co-propriétaire, team manager et ex-pilote au sein de la structure bernoise « Race Performance », Michel FREY avait sérieusement envisagé de retourner dans la Sarthe (il y était présent depuis 2010 avec une seule pause en 2015 et une treizième place au « général » comme meilleur classement en 2014) avec notamment le jeune et talentueux Giorgio MAGGI. Mais le projet (toujours en LMP2) est tombé à l’eau en début d’année, au moment de la clôture des délais des inscriptions, faute d’un financement suffisant. Maggi s’est alors tourné vers le Blancpain GT Endurance Series avec une Lamborghini Huracan. Quant à Niki LEUTWILER (57 ans en novembre prochain), aperçu en 2016 avec l’équipe Race Performance précisément (44ème), il a préféré orienté son chemin vers une autre discipline, peut-être mieux en rapport avec son emploi du temps et ses envies, soit le championnat de France GT avec une Porsche Cayman GT4 du team TFT basé à Nogaro.
Sort un peu cruel enfin – mais le sport automobile est souvent cruel – pour Alexandre IMPERATORI et Mathéo TUSCHER, pourtant irréprochables l’an dernier au sein du Rebellion Racing. Las pour eux, ils ont été écartés des cadres de l’équipe vaudoise et peinent à retrouver de l’embauche ; Tuscher tout particulièrement (sans sponsor majeur) même s’il chasse sur quelques pistes actuellement afin de rebondir alors qu’Imperatori se défoule plutôt bien en GT au volant d’une Porsche (il s’est récemment classé 8ème des 24 Heures du Nürburgring).

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Potin

12/6/2017

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Récemment, autour d’une succulente raclette, spécialité de la maison, il a surtout été question de 24 Heures du Mans, de Grands Prix F1 et de…descentes à ski, le tout assaisonné de franches rigolades : Jean-Claude RUDAZ, en lice en…1964 dans la Sarthe aux commandes d’une Aérodjet René Bonnet retrouvait avec un plaisir non dissimulé Jacques DESCHENAUX, la voix de la RTS sur les GP durant trente ans et bras droit de Jo Siffert, l’un de ses adversaire d’alors en F1, tandis que Willy RICHARD (le dessinateur du monde de la F1, ancien « créateur » du GP de Gollion et auteur de cette photo), Philippe Brennenstuhl (coach de Marcel Fässler à l’époque de son titre européen en GT/Open sur une Ferrari) et Jean-Marie Wyder complétaient la table dressée par un certain…Roland Collombin (incomparable champion de ski mais toujours aussi passionné de sports mécaniques) à l’enseigne de la « Streif » qu’il exploite à Martigny dans le quartier du Bourg. Un moment fort sympathique, parfois émouvant, ponctué d’anecdotes savoureuses.
Photo
Rudaz – mis sous nos projecteurs dans le tome 9 (2014) de la série « Les Suisses au Mans – n’allait pas garder un souvenir impérissable de sa seule « sortie » dans la Sarthe (abandon, avec son coéquipier Pierre Monneret, premier Français à s’être imposé dans un GP Moto 500). En revanche, amateur notamment de restauration de véhicules anciens, il a totalement retapé une Aérodjet René Bonnet de route et ne se prive pas de se balader régulièrement à son volant sur les routes du Valais central ; plaisir garanti, et surtout sans boules Quies !
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Potin

11/6/2017

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Après une absence de trois ans dans la Sarthe (dans l’intervalle, il avait notamment privilégié les rallyes), Jonathan HIRSCHI retrouve les 24 Heures. Retrouvailles, oui, car il s’agira de sa cinquième participation, son meilleur classement à ce stade étant une 22ème place en 2011 sur une Lotus Evora GTE.
Hirschi va rouler cette fois pour le compte de CEFC MANOR, une émanation du team de F1 parti en liquidation l’hiver écoulé. Le rapide Neuchâtelois (31 ans) fera équipe avec le Français Jean-Eric Vergne (ex-F1 chez Toro Rosso) et le Thaïlandais Tor Graves. Lors de la « Journée Test » d’il y a huit jours, leur Oreca-Gibson s’était distinguée en décrochant le deuxième chrono des LMP2 derrière l’une des deux Alpine/Oreca. De quoi rêver d’un podium d’ici une semaine…
Une seconde Oreca-Gibson inscrite par Manor sera en lice (au total, les LMP2 qui soit dit en passant, au radar installé sur les Hunaudières lors de la « Journée Test », se sont révélées être plus rapides que les LMP1 hybrides – Porsche et Toyota – , seront…25 au départ samedi prochain) et nous intéressera tout particulièrement elle aussi car elle sera confiée à Simon TRUMMER qui a délaissé la catégorie reine après deux saisons difficiles chez Kolles Racing Team pour rejoindre cette équipe anglo-américaine. Le Bernois aura pour coéquipiers le Russe Vitaly Petrov (un autre ex de la F1) et le Mexicain Roberto Gonzales.

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Potin

10/6/2017

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Il y a cru jusqu’au bout ; avec un projet monté autour du team Proton Compétition/Porsche pour lequel il s’aligne en ELMS habituellement. Mais finalement, Joël CAMATHIAS ne sera pas au départ de cette édition des 24 Heures et son compteur personnel restera donc bloqué à deux expériences (33ème en 2012 et 41ème en 2016, à chaque fois sur des Porsche 911 RSR GT3).
C’est l’occasion de dire que malgré ce forfait, le Tessin sera à l’honneur dans le prochain tome du livre « Les Suisses au Mans » avec une rétrospective complète des dix pilotes de ce canton qui, à ce jour, ont participé aux 24 Heures du Mans. Avec sa 3ème place signée en 2002 sur une Audi R8 d’usine, Philipp PETER – désormais retiré des compétitions – s’avère être, au niveau des chiffres, le Tessinois (né à Vienne) le mieux loti dans ce bilan. On rappellera aussi que quelques jours seulement avant de célébrer ses débuts en F1 sur une Ferrari (4ème au GP de Hollande 1970), Clay REGAZZONI avait disputé les 24 Heures sur une Ferrari 512S officielle en compagnie d’Arturo Merzario ; mais que cette seule et unique tentative dans la Sarthe s’était soldée par un cuisant échec (quatre 512S dont la sienne avaient été éliminées dans un carambolage causé, pour beaucoup d’observateurs et de témoignages recueillis alors, par Clay) !

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    Jean-Marie Wyder

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    Après un silence de plus de six mois – et à la demande générale, restons modestes… – nous avons décidé de redonner vie à ce site. Comme annoncé à l’époque (novembre 2016), ce sera sous une forme un peu différente, mais le plus souvent décalée, sans servir de manière servile et infantile la soupe proposée par des communicants de tout poil, autoproclamés seuls compétents, en faisant par conséquent la part belle aux infos inédites et colorées. En espérant que cette correction de trajectoire vous plaira – merci d’avance pour vos futurs commentaires – et vous permettra de rester branchés, en particulier sur les 24 Heures du Mans et ses acteurs suisses ; d’hier comme d’aujourd’hui. (jmw/jean-marie wyder)


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