Au vu de ce qui s’est passé dimanche dernier lors de la « Journée test » (plus de trois secondes d’écart entre la Toyota la plus rapide (Kamui Kobayashi) et la meilleure des Porsche, celle de Earl Bamber – mais attention : il faut toujours prendre ces chronos avec des pincettes – l’affaire se présente plutôt mal. Mais on connaît la capacité de la maison de Stuttgart à réagir. Tout cela pour dire et imaginer que si Neel JANI récupère une voiture ultra performante d’ici une semaine, qui plus est dans un tour idéal, il pourrait entrer dans l’histoire des 24 Heures du Mans en réalisant mercredi ou jeudi soir prochain la « pole-position », sa troisième de rang, au volant de sa Porsche 919 hybrid !
Il égaliserait alors la performance d’un certain Jacky ICKX, auteur de la même série en 1981, 82 et 83 sur…Porsche 936/81 puis 956 !
Même si la « pole » au Mans revêt une signification secondaire compte tenu de la spécificité de l’épreuve (ce n’est pas le GP de Monaco), ça fait toujours bien sur une carte de visite ! Deux bémols pourtant à propos de cette escalade au « grand chelem » : nous ne sommes pas dans le secret des dieux mais ne serait-ce pas plutôt André Lotterer, chasseur de « pole » tout désigné à l’époque d’Audi, qui se chargerait de cette mission plutôt que notre compatriote ? Et si Porsche se désintéressait de cette chimère pour mieux enfumer son adversaire, en continuant de préparer la course sans état d’âme et en poursuivant (?) ainsi son intox ? « Contrairement à l’an passé, on devrait pouvoir faire des relais de 14 tours, comme les Toyota… » dixit Jani. Intéressante indication…pour la victoire finale !
Petit rappel utile : ce n’est que depuis 1963 (les 24 Heures ont été créé…quarante ans plus tôt) que le Mans attribue la « pole ». C’est la Ferrari 330 TR du Mexicain Pedro RODRIGUEZ (le futur grand rival de Jo Siffert) qui en avait été alors la vedette. Auparavant, la grille de départ (en épi) s’organisait en fonction de la cylindrée des véhicules engagés, les mieux lotis occupant « naturellement » les places à l’avant du peloton quel que soit le chrono réalisé !
Il égaliserait alors la performance d’un certain Jacky ICKX, auteur de la même série en 1981, 82 et 83 sur…Porsche 936/81 puis 956 !
Même si la « pole » au Mans revêt une signification secondaire compte tenu de la spécificité de l’épreuve (ce n’est pas le GP de Monaco), ça fait toujours bien sur une carte de visite ! Deux bémols pourtant à propos de cette escalade au « grand chelem » : nous ne sommes pas dans le secret des dieux mais ne serait-ce pas plutôt André Lotterer, chasseur de « pole » tout désigné à l’époque d’Audi, qui se chargerait de cette mission plutôt que notre compatriote ? Et si Porsche se désintéressait de cette chimère pour mieux enfumer son adversaire, en continuant de préparer la course sans état d’âme et en poursuivant (?) ainsi son intox ? « Contrairement à l’an passé, on devrait pouvoir faire des relais de 14 tours, comme les Toyota… » dixit Jani. Intéressante indication…pour la victoire finale !
Petit rappel utile : ce n’est que depuis 1963 (les 24 Heures ont été créé…quarante ans plus tôt) que le Mans attribue la « pole ». C’est la Ferrari 330 TR du Mexicain Pedro RODRIGUEZ (le futur grand rival de Jo Siffert) qui en avait été alors la vedette. Auparavant, la grille de départ (en épi) s’organisait en fonction de la cylindrée des véhicules engagés, les mieux lotis occupant « naturellement » les places à l’avant du peloton quel que soit le chrono réalisé !